Une goelette

Ma photo
grece, mer égée, Greece
A la retraite ,parti conquérir le monde ,me trouvant bien partout ,je ne crois pas en faire le tour.

jeudi 24 octobre 2013

Entre Hommes


Entre Hommes.

Ce soir rendez vous à la taverne boucherie de Marmaris.Pour y retrouver les Amis dont j'avais fait la connaissace au printemps lors de mon dernier passage; deux Grecs Francophones trés sympathiques.

J’ai envoyé un SMS à Kristho et Alexandros.

Kristho m’a répondu ,on se verra à l’heure de la pêche, effectivement tout les soirs à la nuit tombante il vient au bout du quai chatouiller le calamar ,avec une bonne dizaine d’habitués chacun sa place, chacun son ragot du jour ca discute, ca rit ,ca plaisante ,ca s’emmêle .



Bon Kristho à téléphoné à Alexandros il faut qu’il aille le chercher à Karisto à son cabinet.

« Il a un cabinet de quoi ? »

« ben il est docteur ! »

Ha bon , l’ancien officier de la marchande, le directeur de parking Lyonnais, le pote à Poutine est aussi docteur, je savais pas,j’ai du oublié.

« Allez dernier coup de lancer puis je vais le chercher déclare Alexendros, rendez vous à la taverne à 21h30 »

Je m’exerce à mon tour à la pêche aux calamars pendant une demi heure et hop direction la cantine.

Bon accueil du patron , »j’attends les amis.Je m'installe à une table,les couverts sont apportés. »

La porte s’ouvre .

« Salut Philippe,Alexandros qui arrive me brandissant le figaro, Tu as vu la dernière de ton Président, ca y est il attaque direct le Alexandros. Bon ,la table choisie ne lui convient pas; il y a matchs de foot ce soir,Il veut celle qui est déjà retenue ,grande discussion avec le patron , il obtient gain de cause avec grincement de dents du tenancier. »

« Tu es seul ; où est Kristho  « 

 « oh ! me parle pas de Kristho en ce moment ca ne va pas entre lui et moi »

Je suis trés étonné,et il me raconte l’histoire de sa brouille ; une Roumaine de Moldavie qui a débarqué à Marmaris mettant en émoi le cœur des mâles.

Le Kristho1 dont il me parle ne ressemble pas à celui que je connait où alors je perds la mémoire et il faut que consulte d'urgence.(je suis obligé de mettre un dossard aux Kristho  pour pouvoir comprendre) ex patron de pêche ayant mis son bateau à la casse pour toucher le pactole de Bruxelles et en ménage avec une Bulgare qui veille au compte en banque et qui voit d’un très mauvais œil les rapprochements Grequo-Moldave de son Kristho1 avec la jeunesse Roumaine qui sont entrains  de s’opérer sous la traduction Anglaise et amicale de Alexandros.

Pour mettre un stop à l’histoire et protéger le pactole ,il faut court-circuiter  l’idylle. Pense la réguliére Bulgare , un bon moyen.

Rien de mieux que de dire à la femme de Alexandros que son mari est un proxénète qui vend les charmes moldave aux hommes de Marmaris et surtout à son Kristho 1.

Pataquès dans les relations conjugale d' Alexandros, explications ,embrouille et brouille, démêlage de la patouille conjugale  .

J’aurai pas cru qu'un épisode des feux de l'amour avait lieu ici en live, mais je  commence à comprendre la situation.

 Par contre je ne comprends pas pourquoi  il y a une heure Kristho est parti chercher Alexandros pour le rendez vous. Et  que finalement il n’y a que Alexandros de présent. ????

La porte de la taverne s’ouvre. Un inconnu entre.

« Ah , Alexandros dit Alexandros au nouveau venu comment tu vas « se tournant vers moi »il s’appelle aussi Alexandros comme moi ; il est Docteur » Salutations d’usages de l’inconnu une petite lumiére clignote au fond de mon cerveau un pulze est en construction.

La porte de la taverne s’ouvre. Ce n’est pas un inconnu s’est Kristho.( le pêcheur …..à la ligne)

« Ah ,tu a pu venir Kristho dit Alexandros (l'Alexandro celui que je connais, pas le toubib, vous suivez)  on va passer une bonne soirée »

Kristho me présente Alexandros toubib il ne s’est trompé que d’un Alexandros en pensant que l’on avait cassé la croute ensemble en début d’année. Bon tant pis, d’autant que le Docteur peut me faire mon ordonnance pour mes médicaments, dommage  que la nappe de la table ne soit pas à entête de la sécu . L'Alexandros présent m'a fait des confidences en me parlant d'un type que je ne connais pas.

Bon tout le monde est là, il n’y a plus qu’à trier.

J’ai deux Alexandros : un retraité, traducteur à ses heures .Et un Alexandros Docteur

J’ai un Kristho.(pêcheur…..à la ligne)

Plus qu’a commencer les agapes,

Le Alexandros traducteur sort deux cannettes de bière Roumaine « qu’on «  lui a donné, cherchons pas qui ( peut être en remerciement de ses traductions) . Le patron de la taverne fourni le couvert nous on sirote la bière venue  d’ailleurs dans ses verres.

La situation se stabilise, les steaks sont commandés. Plus qu’a regarder le foot à la télés, une télé de chaque coté de la salle Quatre équipes en présence .En fond sonore musical un peu de musique traditionnelle. Pour parler il faut crier. Pourtant on n’est pas nombreux.

Un autre convive arrive on fait plat commun.

Je ne sais pas décrire, tu regarde un écran s’est sur l’autre qu’il y a une phase de jeu qui fait crier celui qui était tourné du bon coté. Enfin Riberi marque un but ,je suis félicité comme si s’était moi qui l’avait marqué . AH, le PSG.

Moi j’aime bien ceux qui jouent au Portugal sous la pluie une vraie rizière le terrain. Où le ballon tombe il s’arrête et flotte les joueurs continuent sur leur lancée attendant le rebond qui ne vient pas ,ils font demi tour.

Finalement la soirée se termine, avec les larmes et injures du patron qui a perdu ses paris.







Je retrouve Kristho sur le quai, il est entrain de pêcher.





Sur la photo un pêcheur terrassé par une crise de sommeil

Aller ce soir on remet ca.


dimanche 20 octobre 2013


Kéa 2013

 
 
 
 
 
Bon me revoilà à Kéa, l’hibernation en vue, encore faut-il l’atteindre.

 
 
 
 
 
 
 
A Epidaure, la soirée musicale s’est bien passée en fait il s’agissait de l’anniversaire de la bataille de Salamine. J’ai rien compris aux discours des orateurs mais les images qui défilaient sur l’écran ne laissent  aucun doute.

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
J’attendais l’intervention sur scène de mon nouvel équipage. Petit groupe de jeunes  qui s’est laissé photographier sur le bateau. Pour mon plaisir et j’espère le leur.

Donc soirée raisonnable en danse folklorique, mes craintes d’une nuit blanche écartés.

Matinée occupée à discuter avec un campingcarsioniste Français, de la dette du pays, je ne partage pas son avis tant pis. J’ai affaire surement à un banquier.

Visite chez les coast guard remontage de bretelles de leurs parts, je n’ai pas de tampon depuis plus de trois mois sur mon crow List. Quel dommage  que je ne puisse pas m’exprimer et donner mon avis sur leur paperasse, plus d’une heure pour leur refiler 9 € encore là ils rentabilisent ils ne sont que deux  à s’occuper de moi. J’ai le droit à un post hit pour me rappeler la date de la prochaine échéance.

Bon je retourne au bateau le crédit des bornes étant épuisé je lève l’ancre pour un peu plus loin. Petite anse 2.5miles plus loin. Joli une plage dépotoir, une chapelle avec les clefs sur la porte. Les sous bois  avec les restes d’un squatte. L’eau transparente. Rêverie devant les déchets que du plastique. C’est rigolo une tong seule, une tête de poupée, un râteau  pour faire des châteaux de sable, un tas de bouteilles, une vrai poubelle de plage. Je récupère un rapala dans un morceau de filet.

Je suis vraiment très occupé.

Deux jours plus tard ayant fini d’explorer ma poubelle je pars vers en face  pas trop de vent mais je ne vais pas trop loin. Quand j’arrive l’endroit choisi ne me convient pas, trop propre. Non, je ne me sans pas à l’aise dans l’environnement, je vais un peu plus loin finalement le temps passe et je mouille à la tombée de la nuit  sur Nissos Moni  proche d’Aigine.

Le vent tourne dans la nuit des vagues viennent me faire danser. Une heure du matin ,15 nd de vent. Bon j’y vais pour monter sur le Cap Soumion  s’est bon presque une aubaine.

 
 
Au large plus de vent quelle chiotte, direction Poros j’arrive à faire du 3 nds  finalement je mets le moteur et me retrouve à mouiller devant Poros à 5h du matin, plus qu’à dormir. Un petit tour chez Lidl, la pluie arrive à mon retour, un orage vient rincer le bateau, j’ai eu juste la chance de remonter le moteur d’annexe, au cas ou il me faudrait partir.
 
 
 
 
 
 
Les rafales sont fortes, les bateaux au quai de la ville se sauvent les uns après les autres. Anak est parmi eux, Pierre tout à sa manœuvre ne vois pas qu’il vient mouiller juste auprès de moi.

 
 
 
 
 
 
 
 
Lionel de Swing est aussi dans les parages j’ai sa visite, le soir giropita avec Pierre et Bernadette d’Anak en faisant un crochet pour l’apéro sur Swing.

 
 
 
 
 
 
 
Mon périple touche à sa fin, plus qu’à remonter vers le chantier. Je quitte Poros en saluant les amis présents.

Deux options  le cap Soumion ou Kéa. Belle navigation jusqu’au cap Soumion, après je me traine, le vent molli, je fini au moteur.

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
A l’abri dans Kéa, la météo n’est pas très réjouissante du Nord pendant une semaine avec un gros coup Vendredi prochain. Je me résigne à passer un certain temps ici.

Au matin le vent est plus à l’Est, je tente une sortie vers Porto Rafti que j’atteins facilement ;
 
 
 
Maintenant je suis au mouillage, plus qu’à attendre que le vent me permette de faire quelque chose.

Bouphalo avec les calamars farcis  ou Marmaris avec le boucher taverne. Dans les deux des amis à saluer.

J’oubliais de dire que je suis le roi de (tout ce que l’on veut) en deux jours je rate deux espadons. Ils sont au cul du bateau, le premier case la ligne est part avec le rapala, le second en voulant le crocheté je donne un coup sur le leurre qui se défait de la gueule de la bestiole qui se sauve. J’ai épuisé le stock de jurons en ma pocession ,on n’a du m’entendre jusqu’à Athènes. Pas facile tout seul ,il faudrait arrêter le bateau. Bon ,aller je me calme. En tout les cas c’est la saison .  

dimanche 13 octobre 2013


          

Epidaure.


 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Le bateau ancré à Palio Epidavros, le bus de 7h20 presque à l’heure je débarque à Ligorion pour finir le trajet. A pieds 3 km en taxi pareil mais 5€ en moins dans le gousset. Heureusement que mon grand âge me fait économiser  sur l’entrée.

 
 
 
 
 
 
Peu de monde sur le site, un groupe d’Allemands avec leur guide. Je profite très largement du site après leur départ je suis tout seul. Impressionnant ces gradins ca donnent le vertige.

 
 
 
 
 
 
Je monte en haut et attends qu’un visiteur se pointe sur la scène pour vérifier que le son monte bien jusqu’à moi peine perdue, personne. Enfin j’aurai la satisfaction d’avoir pu faire des photos sans public de ce site le plus visité de Grèce.

 
 
 
 
Je redescends  vers le musée, bof des statues sans tête c’était la mode à l’époque ils ne changeaient que les têtes  moins de travail, C’est comme si aujourd’hui on faisait une statue de chaque personnage public, les sculpteurs auraient du mal à suivre. Un genre de photomaton.

 
 
 
 
 




Le reste des ruines  ca vaut le coup, bien qu’un peu éparpillée, il n'y a qu'a suivre les indications on peut imaginer un grand centre de cure.

 
  
 
 
 
L’eau devait couler à flot à l’époque, eau douce et eau soufrée à en voir les pierres jaunes des citernes.

 
 
 
 
 
 
 
 
Maquette du truc ou ils dormaient ???
 
 
 
 
 
Les gens venaient de tous les coins pour se faire soigner. Ou achever.

Méthodes douces par les rêves ou le sommeil, enroulé dans les peaux de bêtes sacrifiées.

 
 
 

Si tu rêvais de forêt on te soignait avec des écorces, si tu rêvais de vignes avec du vin, si tu rêvais de femme avec de l’huile de foie de morue .

Pas remboursé par la sécu.

 
petit bleu à 8.8040108€
 
 
 
Heureusement que l’Europe est là,
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
elle permet la restauration en toc et en neuf et surtout l’édification et reconstitution  de ruines neuves.
 
 
 
 
 
 
 
Le stade
 
 
 
Mais nous gratifie  d’une exposition d’engins de levage
 
 
 
 
 
 
 
 
et échafaudages de tous genres rien n’est épargnés tout est entamés.

 
 
 
 
 
 
Visite terminée, il me reste du temps pour mon bus retour de 13h. et trois kilomètres à faire à pied.

 
 
 
 
 
 
J’avais dans l’idée de faire du stop mais le parking est un vrai désert.

 
 
 
 
 
 
 
 
Attablé devant un poulet frites le bus de 13h à de l’avance, je reconnais le chauffeur du matin, j’abandonne mes frites et saute dans le bus je suis le seul client du parcours. Encore seul je dois sentir l’ail.

 
Petit bleu à 3.000.000,00€
 
 
 
Retour au bateau, baignade et douche sur la plage.

 
 
 
Ce soir soirée musicale, je m’attends au pire ?

jeudi 10 octobre 2013

Naphlion







Tiros, belle halte, endroit avec vue panoramique sur la suite du voyage.








Le thermique ne se réveillant qu’en début d’après midi, il me laisse le temps de faire grâce matinée pour me remettre de la musique de la taverne où il y avait eu un mariage. Sono que j’ai interrompu  avec un gavage de boules kies dans mes oreilles, bientôt je vais y mettre la boite entière, avec la notice.

Sur le coup des cinq heures du matin le calme est revenu libérant mes conduits auditifs. Ouf.

Quelle joie, le pope est en forme et ponctuel à sept heure il envoie les carillons pour rappeler qu’on est Dimanche et entame sa liturgie quatre heures non stop avec sono extérieure.





Si j’attends le thermique je me retrouve à l’heure de la sieste et comme j’ai un déficit   de sommeil je risque de la faire, il vaut mieux partir maintenant même sans vent.

Direction ? Ben où je pourrai ?

Après une navigation zigzagotromique je me retrouve à Tolos sous un ciel menaçant.



Mouillage sous Nissos Tolos à l’abri des décibels.

Manque de chance dans la nuit 4 orages me font du son est lumière, le premier me fait éviter en passant prés des cailloux.

Je lève l’ancre est la replante plus au large.

Le second arrive dans l’autre sens avec une rincée fabuleuse du bateau.

Les deux autres me font tourner autour de l’ancre qui ne bouge pas d’un pouce.

Quelle nuit, mais j’arrive à dormir un peu avec un œil sur le sondeur à 2.30m les cailloux ne sont pas loin à 3.50m ils sont passés.




Au matin grand calme, même pas sommeil j’en ai marre, il me faut un endroit où le bateau soit  captif .Direction Naphlio, Naufli, naf truc ca s’écrit dans tous les sens.














Les cinq miles que je n’ai pas voulu faire la veille sont vite fait.

Une place dans l’angle du port, le meilleur, sous la citadelle.

Le bateau ficelé au quai prés pour une nuit grand confort.

Aller je suis en forme le manque de sommeil me dope.







Ascension de la citadelle par les escaliers. 912 marches ce n’est pas moi qui les ai comptés


















Quel travail, quelle construction, à une époque où les soldats se battaient à coup de cailloux.



















D’en haut le point de vue est magnifique,













en face des orages grondent, il ne faut pas que je m’éternise  les  hublots sont ouverts sur le bateau.












912 marches plus bas je m’installe en terrasse  devant une bière bien mérité.















J’ai fait le plein de photos plus qu’à reprendre le chemin en sens inverse au gré du vent.









Ce sera, à nouveau  Koiladia, mais je me choisi un petit mouillage devant une plage pour une nuit paisible malgré le vent qui ne tombe pas comme à l’habitude.

Réveillé par la pluie, l’averse passe, le temps est bizarre, de la houle arrive, je pars vers Porto Keli et sa blanchisseuse.


La ligne de traine muette depuis pas mal de temps se réveil, je remonte un superbe maquereau tigre à pois jaune.

Bon ca s’est pour la frime si je dis j’ai péché un maquereau  les pêcheurs de bonites que je connais vont se marrer. N’empêche que dix minutes après j’en refais un autre. Stop, il ne faut pas dépeupler.




(Depuis quelques temps je navigue avec la grand voile complète au pré même par vent fort et je réduis le génois avec 20 nœuds je suis entre 35° du vent pour une vitesse de 5 nds et du confort. J’en suis surpris.)

J’arrive à Porto Keli le quai est complet, un petit trou entre des voiliers et un bateau de pêche je fais la manœuvre sous le regard du coast guard qui me fait signe une fois presque au quai que c’est interdit. Je vais mouiller cent mètres plus loin.

Spectacle : tous les voiliers qui arrivent essaient de se mettre dans la place, invariablement il attend le dernier moment pour dire  que c’est interdit. Bah ! S’il en jouit tant mieux pour lui.

Voilà les dernières nouvelles, à regarder les bateaux se faire jeter de la place convoité, dans l’attente du retour de ma lessive.

La suite du voyage vers Poros se fait au pré autant dire qu’il me faut tirer des bords avec Dhokos une ile entre Hydra et Ermioni  que je n’arrive pas à passer elle fait un déflecteur qui m’envoie à la ramasse de chaque coté. J’abandonne pour finir par me faire aider du moteur et me faire un mouillage dans Ormos Ntartiza beaucoup moins houleux qu’à Ermioni.

Quelques bords le lendemain pour éviter toujours se coup si la face Nord de Dhokos et un mouillage sur Hydra dans Ormos  Molos que j’avais utilisé il y a deux ans.Maintenant un bateau moteur squatte le mouillage à la meilleur place. Il reste encore de la place pour être abrité du vent du Nord.

Direction  Poros le lendemain, tout en tirant des bords 12 miles en route directe pour passer le cap Spati 36 fait à zigzaguer pour finir sans vent une fois passé.


Retrouvailles des Trolliens repas sur leur bord. Avitaillement au Lidl du coin.











Photo de Thierry
Invitation à nouveau sur Troll pour une soirée en compagnie de l’équipage D’Alizé






puis une autre soirée sur Alizé. Je suis en reste pour rendre les invitations.(J'y pense)








Le temps se couvre pas de vent pour l’éolienne pas de soleil pour les panneaux solaire direction le quai de la ville avec ses prises de courant. J’y retrouve Alizé.

Et j'ai pour voisin un  bateau Roumain dont le propriétaire parle très bien le Français. Pour agrémenter la conversation je lui demande s’il est un « Rom » grand sujet actuel en France. Démarrage au quart de tour avec l’historique depuis 1800. Avec la perception et la version d’un Roumain qui se sent emballé  dans le même sac qu’un Romanichel ou « gens du voyage »

J’échappe à la conversation grâce à mon frichti qui est en train de bruler.

Mais j’espère la poursuivre bientôt.