Chios Lithy 2015

 

 

 

Ma colère passée à Mesta devant le gâchis .

J’ai quand même eu le droit au contrôle des papiers et au remplissage de la totale,

 

 

 

 

le rôle d’équipage, moi,moi ……. Dans tout les rôles.

 Le crew list vite rempli encore que moi.

Le carnet à souche des factures n’a pas été sorti en mémoire de mon sermon de la veille.

 

 

 

J’ai repris la route vers d’autres aventures, pas bien loin  à deux  heures de pêche.

 

 

 

 

 

 

 

 

Bredouille ,je me suis installé dans le port de Lithy ,tout le quai pour moi .

Une femme qui pêche et qui me parle en Français ,moi qui lui parle en charabia avant de percevoir que je comprends son langage et pour cause elle a tenu un resto dans le quartier de l’Odéon à Paris.

 

 

Le site est très joli ,le village en hauteur ,des tavernes sur la plage, dommage  un incendie à ravagé la montagne il y a quatre ans la forêt a disparu , une végétation reprend le dessus et verdit les pentes.

 

 

 

 

 

 

 

Bien installé ben !.... je me fais une taverne, copieuse la salade elle aurai suffit à elle-même mais l’assiette de calamar est formidable. Quel effort pour me trainer jusqu'au bateau pour y effectuer une sieste bien mérité . Il faut que je me calme sur la mastication.

 

 

 

 

 

 

 

Pas faim ! après la sieste, je vais au lit sans manger.

 

 

 

 

 

 

Au matin je suis en forme pour une balade vers le village et plus si l’envie me vient. L’idée faire un petit avitaillement en ville je pars avec mon sac à dos et un cabas dedans.

Devant la taverne d’hier il y a le patron ,il m’offre un café ; sacrés commerçants ces Grecs !

 

 

 

Je reprends mon chemin, discussion  avec un Papy de mon âge (mais beaucoup plus usé) sur ma provenance et sur les pucerons dans les fèves .

 

 

 

 

 

 

Cahin -caha je chemine ,je trottine  de ci delà.

J’arrive dans le fabuleux village, une cour d’école où les gosses jouent. La place avec l’épicerie et la boulangerie, plus de pain ,il fait juste le compte ,

 

moi je suis en extra. Demain.

 

 

 

Mon shopping est vite  fait. Je continue la balade sur un sentier magnifique ouvert par les Ottomans en 1500. Dommage que tout soit brulé mais malgré cela c’est beau. Je me suis donné de marché jusqu’à midi et de redescendre ensuite.

 

 

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J’arrive à un col le sentier se poursuit vers Chios ville dans les restes de pins .

 

 

 

 

 

 

Retour au bateau avec détour vers le rusé tavernier.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Demain je change d’horizon.