Et la suite.
Navigation peu glorieuse malgré une météo et un départ prometteur.
Sortie de mon trou ,y étant resté deux jours. Je suis
content de hisser la grand voile et de commencer à filer rapidement vers le
large, abatre un peu pour faire porter le génois,le vent doit tourner à mon
avantage plus tard c’est sur c’est écrit dans le fichier Grib.
Puis le vent tourne mais pas dans le sens prévu, pas de problème
j’empanne je passerai sous Levita.
Bon choix, pétole ; moteur.
Et ca ronronne pendant toute la suite du trajet. Arrivée à Laki sur léros un mouillage au calme et des projets simples.
Refaire le plein de la cambuse et penser à aller se mettre à
l’abri d’un coup de Sud. C’est la météo qui le dit et dans les mauvais coups
elle ne se trompe pas, en principe.
Ravitaillement fait, je taille la route vers le grand Nord de Léros .J’évite Partheni et son aéroport se n’est pas trop le trafic qui me gène mais la présence de nombreux corps morts. Je me choisi un endroit plus désert Plakouti très joli. Seul dans un premier temps un bateau vient mouiller juste derrière moi. Comme il y a de fortes rafales de prévues je ne me sens plus tranquille si je dérape.
Et le cirque commence. Le Sud s’installe et comme de juste
je dérape normal je n’avais pas mis assez de chaine ,celui qui était derrière
moi aussi sous la même rafale.
Toujours inquiétant de partir et de devoir remonter l’ancre sans rien embarquer ni aller chatouiller les cailloux. Ca se fait j’attends qu’ils refasse leur mouillage pour faire le mien finalement je vais de l’autre coté de la baie pour avoir plus de place. Il faut piocher dans le sable grande difficulté seul et avec le vent je mis reprend à deux fois , mais pas satisfait .
Toujours inquiétant de partir et de devoir remonter l’ancre sans rien embarquer ni aller chatouiller les cailloux. Ca se fait j’attends qu’ils refasse leur mouillage pour faire le mien finalement je vais de l’autre coté de la baie pour avoir plus de place. Il faut piocher dans le sable grande difficulté seul et avec le vent je mis reprend à deux fois , mais pas satisfait .
Dans la nuit sa souffle, je dors dans le carré ,j’ai l’œil sur le sondeur ,finalement je vois que le bateau est travers au vent et l’alarme qui se déclenche je suis parti. Moteur et remonter l’ancre pas simple.
J’ai labouré le fond je remonte une brouette d’herbe, maintenant il faut mouiller à nouveau au hasard les plaques de sables ne sont pas visible. Un essai qui me fait dormir une demi heure et je recommence.
Dire qu’il y en a qui pense que j’ai la vie club Méd en permanence. C’est sûr qu’après le stress
un rien me réjouis .
Bon finalement je mouille à nouveau en larguant presque
toute la chaine, un bon rappel de l’ancre se coup si me rassure elle a
accroché.
Il y a encore deux jours à tenir je suis un peu loin du rivage et je reçois les
rafales.
Aller j’aime ca mouiller .Je refais la manœuvre dans une belle plaque de sable j’envoie l’ancre comme dans la nuit vingt mètres d’un seul coup dans 4 m d’eau et je laisse filer la suite quand le bateau rappel. Il n’y a pas de doute là sa tient.
Plus qu’à s’occuper , heureusement j’ai de la cuisine à
faire pour la suite du voyage.
Rendez vous vers Pharmaconisis ,pour demain bien sur il y a pétole .
Certaines photos sont de Lionel et Claudine de Swing
Certaines photos sont de Lionel et Claudine de Swing
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