Istanbul 2.
Direction Kadiköy la
gare fluviale plaque tournantes des « Vapur » de l’autre coté du
ponton ma correspondance pour le pont de Galata. Je deviens un familier du
trafic voilà deux jours que je fais la manœuvre.
Huit heure trente à mon arrivée un petit tour vers le grand Bazar
celui qui est le plus proche le quartier des épices et douceurs.
Les étals viennent d’être faites les pyramides d’épices en vrac attirent l’œil.
Les piles de loukoums et autre sucrerie sont bien
appétissantes.
De ruelle en ruelle j'atteins le parc Gülhane et remonte vers Topkapi prenant position dans les deux cents mètres de queue, pour avoir le droit de donner 45Lyras et le plaisir de découvrir en compagnie d’une foule cosmopolite les beautés du lieu. Après bien sur être passé dans le sas de contrôle comme dans un aéroport.
C’est beau ca le serait d’avantage en retirant du paysage 5000 personnes.
Pour faire des photos sans personne dessus il n’y a que les plafonds.
Faut lire vite les textes sous les vitrines au risque de créer un bouchon et ne pas trop s’éterniser devant une babiole. Il y en a quinze mille derrière qui poussent.
Les vêtements, les armes, les reliques ,photos interdites
coup de bâton sur le bout des doigts si tu te fais prendre.
Par contre je me suis offert une récréation au pavillon
des horloges très joli des objets de
toutes beautés et un gardien obstiné « pas de photos, pas de photos,
photos interdites « Le pavillon en forme
de n, entée d’un coté, sortie de l’autre
et le gardien au milieu
« pas de photos nia nia nia »
Moi qui sors, vengeance coup de flash dans le vide l’autre
bondi « pas photo, pas flash » il cherche le coupable je suis dehors.
Direction l’autre coté l’entrée de la salle ‘coup de flash l’autre qui gueule « pas photo pas flash «
Aller avant qu’il ne m’arrive des bricoles un petit coup de flash dans la sortie juste
pour le plaisir.
Direction le « trésor » pas photos pas flash non
plus. Bon c’est beau tellement gros que ca me laisse complètement froid 50kg d’or pour un chandelier avec 1500
pierres incrusté il y en a deux.
Un trône pareil. Plein de cailloux.
Le fameux diamant pourrait être en
pyrex tellement il fait toc. C’est de l’incroyable.
Une légion d’honneur qui pourrait subvenir au besoin des
restos du cœur pour une année.
Enfin tout ce qui est là et pour lequel j’ai payé pour voir,
me rassure il y a de quoi supprimer
la misère et la faim dans le monde.
La visite est finie, pas l’extase auquel je m’attendais.
Petite explication sur le nombre de personne voilée ,les habitants des pays Arabes moins laicque que la Turquie ,non plus les difficultés pour sortir de chez eux et il n'est plus utile d'avoir un visa. De là un nombre important de visiteurs Arabe
Je vais me mettre au frais dans la citerne basilique. J’aime c’est surprenant.
Le grand bazar beaucoup de monde des escadrons de touristes qui marchent aux pas sous la direction de leur porte drapeau qui peut à la rigueur être parapluie ou tout truc distinctif pour rester groupé. Je divague en pensant que les guides pourraient innover genre cor de chasse, trompette etc. pour les non voyants il y aura un avantage.
Un peu plus rustique, je me retrouve dans une rue entrepôt de vêtement en gros ca grouille pas de touriste.
Le quartier des marchands de boutons celui des fermetures éclaires etc.
Une autre cour les marchands de cailloux ca brille dans les petites échoppes, ce n’est pas la place Vendôme mais la marchandise semble être de la même charrette.
Je m'y installe dans un canapé confortable, je regarde ma
pendule oulà pas le temps il faut que retrouve mon chemin pour sortir de cette
zone et rejoindre le pont de Galata, les rue sont en pentes je descends et
retrouve mon chemin prés du souk aux épices où il y a foule, les pyramides en
on prit un coup tant mieux, demain elles seront reconstruites.
Retour, un bateau Français voisine avec Matins Bleus. Ce
matin ils partent et sont remplacé dans
l’heure par un autre également Français. C’est jour de marché je fais mon
avitaillement.
Paye mon dû à Tamer le capitaine de port qui en fait tient
un magasin d’article de pêche et fait l’entretien des barques du port, il parle
un peu du « comme moi ».