Saraylar le marbre blanc de Marmara.
Depuis des temps lointain le marbre est exploité au Nord de
l’ile.
Il y a possibilité d’y aller en bateau, mais puisse que je
suis bien calé autant faire une découverte par l’intérieur, le dolmus est à 20 m du bateau.
Départ huit heure, après le ramassage scolaire qui voit affluer les écoliers d’une bonne
partie de la région.
Ce n’est pas de la 4 voies. Les nids de poules ont été désertés
devenu trop grand pour les volailles.
Une route avec des hauts et des bas au travers d’une
végétation bien verte.
Puis changement de décors plus d’arbre des cailloux carrés « le
marbre « une taupinière gigantesque avec au milieu une ville et un port.
Fin du trajet le chauffeur m’offre la course, retour 14h. Le
musée tout droit.
Me voilà lâché sur la route.
Le musée entrée gratuite, de toute façon il n’y a pas d’entrée
un terrain un peu défriché et éparpillé
dedans les œuvres ratés des sculpteurs de l’antiquité,
il faut dire que les tombeaux,
les portiques tout se qui se faisait était taillé sur place. Une fissure dans
la pierre, un coup de marteau de trop, pan l’œuvre se cassait, poubelle.
Donc
le musée c’est la poubelle.
Voyons maintenant la vie d’aujourd’hui, les camions chargent
des blocs qui sont transportés par cargos.
Il y a des exploitations partout. Le vent est du bon coté
épargnant la ville.
Je monte vers des antennes pour avoir une vue d’ensemble.
Zone technique.
Non une zone commerciale basées sur la mécanique,
il y a de
tout et ce qu’il n’y a pas se fabrique sur place. Je suis comme un gosse dans
un magasin de jouet.
Le thé m’est offert dans un magasin de courroies et de
flexibles hydrauliques. La conversation par l’intermédiaire de l’ordi.
Retour en ville, ici aussi ils font dans l’auto bloquant, l’empierrement
du port en marbre, des sculptures modernes le long de la future promenade.
Petite pose à l’ombre et resto.
Retour au bateau un peu tardif, j’arrive à négocier mon
départ sans supplément.
J’aurai le droit à deux prunes vertes, cadeau faux cul je
les mange hum c’est bon !
Un quart d’heure plus tard ils reviennent avec un sac rempli
des fameux délices.
Je refuse, par gestes je leur fais comprendre les effets que
les fruits verts ont sur moi.
Demain il faut que je me mette à l’abri un coup de Sud est prévu.
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