Contre temps ou temps mort,je quitte Malemort où j'avais momentanément jeté l'ancre .
Mon Frére vient d'avoir un accident de voiture .ma liberté de temps me prédispose pour apporter un soutien logistique à ma Belle Soeur.
Combat de la "Belle-Poule »contre l'Arèthuse.
(17Juin 1778)
Le combat de la frégate française la Belle-Poule contre la frégate anglaise
l'Arèthuse donna le signal définitif des hostilités entre l'Angleterre et la France.
La Belle-Poule portait vingt-six canons de 12, son adversaire en portait vingt huit.
Les deux navires se rencontrèrent dans la Manche.
Le 17 juin, à dix heures et demie du matin, M. de la Clocheterie, lieutenant de vaisseau, commandant la Belle-Poule, eut connaissance de plusieurs navires par ses vigies; il les soupçonna de former le gros d'une escadre
anglaise; il prit chasse. Mais une frégate ennemie et un côtre se mirent à sa poursuite. A six heures un quart du soir il était rejoint. La frégate anglaise héla la Belle-Poule en anglais et la somma de passer à poupe de son amiral;
M. de La Clocheterie répondit par un refus net. A une seconde sommation,même réponse. L'Anglais envoya sa bordée; le combat commença.
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| La beaume de Lirac |
Mon Frére vient d'avoir un accident de voiture .ma liberté de temps me prédispose pour apporter un soutien logistique à ma Belle Soeur.
Combat de le Belle poule.
Combat de la "Belle-Poule »contre l'Arèthuse.
(17Juin 1778)
Le combat de la frégate française la Belle-Poule contre la frégate anglaise
l'Arèthuse donna le signal définitif des hostilités entre l'Angleterre et la France.
La Belle-Poule portait vingt-six canons de 12, son adversaire en portait vingt huit.
Les deux navires se rencontrèrent dans la Manche.
Le 17 juin, à dix heures et demie du matin, M. de la Clocheterie, lieutenant de vaisseau, commandant la Belle-Poule, eut connaissance de plusieurs navires par ses vigies; il les soupçonna de former le gros d'une escadre
anglaise; il prit chasse. Mais une frégate ennemie et un côtre se mirent à sa poursuite. A six heures un quart du soir il était rejoint. La frégate anglaise héla la Belle-Poule en anglais et la somma de passer à poupe de son amiral;
M. de La Clocheterie répondit par un refus net. A une seconde sommation,même réponse. L'Anglais envoya sa bordée; le combat commença.
Des bruits de plus en plus certains affirment que la chose est à nos portes.
Ca y est elle est là.Plus qu'a obéir aux ordres .
S'apercevoir que les promesse d'urgences ne sont pas tenues.
Voir qu'en chine il s construisent un hôpital en huit jours, voir qu'en France il nous faut quinze jours pour assembler une structure de 30 lits.
Voir que les Cubains viennent en aide à nos voisins Italiens .
Voir que les masques utiles à nos soignants n'arrivent pas.
Voir des reportages où les gens se protègent avec des masques pour couper des salades et l'expliquer en se mettant le même masque autour du cou pour pouvoir parler.
Quel gâchis. C'est pas bon pour ma tension.
Heureusement qu'il y a les dessins animés pour me calmer, je fais connaissance de l'ours truc des lapins crétins de toutes ces conneries qui apparaissent au milieu des heures de pub dérisoires ventant les impossibles interdits du moment l'actualité est enregistrée pipée.
Tout va bien
Le retour sur terre va être dur.
Temps mort, coma artificiel.
Pour me distraire je bouquine un peu je navigue sur de vieux rafios en imaginant la vie de ces marins d'un autre temps, les successeurs des conquistadors importateurs de la variole.
(Mémoires de l'Amiral Vence.)
Il était six heures et demie du soir, la brise était faible et permettait à peine de gouverner. La nuit vint, mais n'arrêta pas le feu. Il dura pendant près de cinq heures, toujours à portée de pistolet. Vers onze heures du soir, la brise s'éleva.
L'Aréthuse était tellement maltraitée, qu'elle se hâta d'en profiter pour abandonner son adversaire. Elle laissa arriver vent arrière, et se replia sur son escadre., Pendant sa retraite, elle reçut sans riposter plus de cinquante coups de canon. La crainte de tomber dans le gros de l'escadre anglaise empêcha la Belle-Poule de la poursuivre.
La Belle-Poule eut vingt-neuf hommes tués, parmi lesquels M.Grun de Saint-Marsault, officier en second de la frégate, et soixante-seize blessés, parmi lesquels le brave capitaine de La Clocheterie, M. de Laroche-Keran-
draon, enseigne de vaisseau, et M. Bouvet, officier auxiliaire.
(Récit de Las Cases.)
