Une goelette

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grece, mer égée, Greece
A la retraite ,parti conquérir le monde ,me trouvant bien partout ,je ne crois pas en faire le tour.

mercredi 31 juillet 2019

Genre jette sept.


Me voilà autour de Spetsai.dans l’orthographe du pays.
Évoluant depuis mon arrivée dans la région autour du marché hebdomadaire du jeudi à Ermioni.
Les végétaux y étant bon marché j’en repars fourni pour une vadrouille d’une semaine.
J’y ai retrouvé des connaissances  de rencontre à Poros, apéros et repas se sont enchaînes sur leur bord plus confortable .
Si bien que je les invitais chez eux apportant l’apéro promis ou autres victuailles.






On s’est retrouvé à Dokos où motivé par l’espoir de pêche fructueuse j’ai remis la tête sous l’eau en souvenirs de mes ennuis survenus en 2016  .


Puis à Porto Keli où nos routes se sont séparées, Matins bleus ne voulant pas remonté au vent dans les vaguelettes .

me suis retrouvé  dans un mouillage au Nord de Kiparisi avec de fortes rafales qui se sont calmées en soirée. Endroit qui aurai pu resté  beau si il n’avait été balafré par une route où peu de personnes ne circulent.
Vent  arriére je suis descendu sur Kiparisi à six milles. Pas trop le choix les vagues entrent dans la baie et les rafales sont fortes vers la plage épargnées de la houle, enfin le mouillage tiens c’est dèjà çà.








En fin d’après midi je traverse la baie pour voir si vers la chapelle St Georges endroit que j’affectionne il n’y aurai pas la possibilité de mouiller avec un bout au quai.
L’endroit est à l’abri des rafales presque de la houle formées par le renvoi des vagues . Je me fais un accostage cul au quai ,je laisse deux mètres pour le confort  . Bien évidement ma manœuvres n’est pas passée inaperçue. Un autre voilier arrive je l’aide à porter un bout à terre avec mon annexe. Il se décale du quai aussi mais à plus de cinq mètres ,du coup il est dans mon avant se qui rend la situation peu sûre pour un départ en urgence.
Arrive un gros cata drivé par un skipper pro il débarque une équipière hôtesse sur le quai va mouiller et recule amarrage difficile dans les règles de l’art pour faire plaisir aux clients (une famille). Ceux-ci peuvent descendre à terre bien que le bateau soit proche des rochers.
Formidable !!! Une fois à terre  le père va faire sonner la cloche de la chapelle imité par ses enfants puis tout le monde remonte à bord. Tout ce mal et risque que s’est donné le skipper pour voir faire sonner la cloche.
La nuit n’a pas été confortable . Au petit matin le cata s’en va , ca chaine vient prendre mon ancre et la fait se décrocher du fond. Je largue les amarres  en méttant les gaz pour éviter de me retrouvé sur le voisin qui est en avant de moi . Ca se fait de peu  plus qu’à remonter la chaine et  remonter les amarres qui sont à la remorque beaucoup de choses à faire en même temps.
Direction en face où j’aurai du rester.
La suite attendre que la météo soit bonne pour aller au marché.
Départ à 3h du matin pour profiter du vent . J’ai une dizaine d’heures de nav à faire. Parfait pendant 4 heures puis pétole jusqu’à deux milles de l’arrivée veille du marché. Rafales et vagues entrant dans le mouillage pour l’arrivée . Je me retrouve à mouiller à Artitza.
Je suis quand même au rendez vous hebdomadaire du marché.
Plus qu’à tailler la route ,vers où grand dilemme ?






Finalement j’opte le vent et moi-même pour faire un mouillage sur l’Est de Spetsè.
Joli endroit l’eau est belle , proche de l’ile « interdite » d’un armateur.
Ne voulant pas skater dans son horizon. Je continu mon chemin.Le lendemain.










Le long de la décharge pas très loin













du Kalivi  où le barbecue a dérapé 50 hectares pour quelques brochettes.












Finalement je me retrouve dans le mouillage Nord comme d’habitude .
Quelle chance aucun bateau devant la plage où il y a la taverne. Ils sont tous dans l’autre anse. Bon ca ne dure pas un voilier vient me rejoindre.
Un va et vient de bateaux taxis est énervant , ca ne va pas durer ils vont se calmer.
Arrive un gros bateau bien décoré ,je comprends l’agitation du lieu ,un mariage dans la chapelle bucolique à la pointe ,j’en suis à  cent mètres et sur la plage devant la taverne des rangées de tables ne me laissent aucunes illusions sur le calme de ma prochaine nuit.




Je lève l’ancre et je rejoins la meute. La nuit a été calme.   














Dans la matinée je fais le voyeur avec l’arrivée des gros yachts  .
Ils ne se font pas de cadeau. C’est à celui qui prendra le plus de place.











Deux cents mètres de chaine d’ancre à l’avant des bouts à terre de même longueur attachés sur les restants d’arbre du rivage.











Moi je suis bien calé entre le « Roi Léon »(peut être un marchand de frites à Bruxelles )














Et un « Cœur de lion «  à point ,














Qui donne la tétée  au lionceau.
C’est beau de voir évoluer tout ce monde, un spectacle .
L’appel du large étant là .Je quitte la compagnie afin de laisser une petite place pour le « Roi Marcel »( Teeshirts)  ou le Prince « Dudule »

mardi 30 juillet 2019

Comtenplations en solo


Bon ben voilà Fréderic est reparti depuis Kéa en ferry.





Dans un premier temps au mouillage, avec l’obligation d’aller jeter l’ancre au milieu des corps morts et les problèmes que cela apportent. Le fric derrière la raison de sécurité. Il faut être à cent mètres du quai pour que les yachts puissent verser leurs argents pour s’amarrer et occasionnellement s’attabler dans les tavernes voisines.
Au bout de deux jours je fais une virée dans le port principal. La même place qu’au mois de Mai proche du ferry.
Le port est mal exposé au vent du Nord un clapot se fait sentir et le vent traversier tire sur l’ancre. Je préfère quitter  l’endroit pour en face vers l’usine en ruine.



Loin des emmerdes la place est bonne tellement bonne qu’un gros yacht arrive est s’installe sur mon ancre Discours de sourd il ne veut pas bouger. Sauf que le vent change de sens là il commence à comprendre que l’on va se rentrer dedans moi ferraille lui plastique. Moi mon ancre sous ses chaines. Il daigne avancer un peu pour que je puisse désengager mon mouillage. Opération réussie proche de sa belle coque. Je vais mouiller plus loin. Tel est la vie et la mentalité de ses parvenus.




Voilà çà  c’est mon présent ; le passé a été assez simple. Parti de Poros où là aussi le spectacle qu’en tu en es loin, ou la tragédie quand tu es concerné de voir les bateaux de loc faire leur première escale.
Amusant de voir les ancres emmêlées quand se n’est pas la sienne qui est de la partie. Craintes et aboiements à l’arrivée des nouveaux voisins ; soulagement quand autour de soi les places sont occupées, enfin tranquille jusqu’au moment du départ de son entourage. Une vie stressante deux fois par jour. Pendant mon séjour au quai j’ai été épargné, mais toujours vigilant prodiguant avec véhémence mes conseils  en aboiement vocaux et gestuelle multilingue. Ca en devient un jeu.
Après lorsque le calme revient prés de soi, sadiquement on va déguster et compatir aux problèmes des moins chanceux.
A part mes déboires de port, nous avons quand même navigué.
Quitter Pôros avec un bon vent arrière et un sondeur dé initialisé qui m’a pris un temps fou pour le remettre d’aplomb, la navigation a pu commencer.
Direction Dokos encore une fois  toujours plein de monde vers la chapelle, sans hésitation je vais au fond l’eau est belle. Quelques bateaux nous rejoignent, il y a de la place.
Jeudi jour du marché à Ermioni mouillage la veille en soirée.






Paré en vivres direction Hydra Agios Nicolas mouillage proche de la plage un bout dans les rochers.
Envie de se baigner mais l’eau est vraiment chargée de saloperie. De toute façon  ca permet de se poser des questions, Une plage aménagée loin de tout une buvette et des chaises longues sous parasols. Où son les chiottes ?




Du vent pour une grande traversée vers Kytnos est prévu départ à l’aube. Du mal à se dégager d’Hydra puis du bon vent qui ne dure pas au bout de quelques heures nous voilà au pré avec des vagues qui cassent la vitesse. Le moteur est mis à contribution pour finir le parcours. Mouillage au Sud de Kythnos.
Remontée de Kythnos pour le mouillage de Méricha beaucoup de monde des deux cotés.
Avitaillement en ville et départ vers Kéa. Pour boucler le séjour de Frédéric.
                                                                                  Pas de bon vent pendant son séjour ; dommage. 

lundi 15 juillet 2019

Calmos


Bon ben voilà Fréderic est reparti depuis Kéa en ferry.
Dans un premier temps au mouillage, avec l’obligation d’aller jeter l’ancre au milieu des corps morts et les problèmes que cela apportent. Le fric derrière la raison de sécurité. Il faut être à cent mètres du quai pour que les yachts puissent verser leurs argents pour s’amarrer et occasionnellement s’attabler dans les tavernes voisines.
Au bout de deux jours je fais une virée dans le port principal. La même place qu’au mois de Mai proche du ferry.
Le port est mal exposé au vent du Nord un clapot se fait sentir et le vent traversier tire sur l’ancre. Je préfère quitter  l’endroit pour en face vers l’usine en ruine.
Loin des emmerdes la place est bonne tellement bonne qu’un gros yacht arrive est s’installe sur mon ancre Discours de sourd il ne veut pas bouger. Sauf que le vent change de sens là il commence à comprendre que l’on va se rentrer dedans moi ferraille lui plastique. Moi mon ancre sous ses chaines. Il daigne avancer un peu pour que je puisse désengager mon mouillage. Opération réussie proche de sa belle coque. Je vais mouiller plus loin. Tel est la vie et la mentalité de ses parvenus.
Voilà çà  c’est mon présent ; le passé a été assez simple. Parti de Poros où là aussi le spectacle qu’en tu en es loin, ou la tragédie quand tu es concerné de voir les bateaux de loc faire leur première escale.
Amusant de voir les ancres emmêlées quand se n’est pas la sienne qui est de la partie. Craintes et aboiements à l’arrivée des nouveaux voisins ; soulagement quand autour de soi les places sont occupées, enfin tranquille jusqu’au moment du départ de son entourage. Une vie stressante deux fois par jour. Pendant mon séjour au quai j’ai été épargné, mais toujours vigilant prodiguant avec véhémence mes conseils  vocaux et gestuelles. Ca en devient un jeu.
Après lorsque le calme revient prés de soi, sadiquement on va déguster et compatir aux problèmes des moins chanceux.
acquisition d'une moustiquaire et préparation au mariage 
A part mes déboires de port, nous avons quand même navigué.
Quitter Pôros avec un bon vent arrière et un sondeur dé initialisé qui m’a pris un temps fou pour le remettre d’aplomb, la navigation a pu commencer.
Direction Dokos encore une fois  toujours plein de monde vers la chapelle, sans hésitation je vais au fond l’eau est belle. Quelques bateaux nous rejoignent, il y a de la place.
Jeudi jour du marché à Ermioni mouillage la veille en soirée.
Paré en vivres direction Hydra Agios Nicolas mouillage proche de la plage un bout dans les rochers.
Envie de se baigner mais l’eau est vraiment chargée de saloperie. De toute façon  ca permet de se poser des questions, Une plage aménagée loin de tout une buvette et des chaises longues sous parasols. Où son les chiottes ?
Du vent pour une grande traversée vers Kytnos est prévu départ à l’aube. Du mal à se dégager d’Hydra puis du bon vent qui ne dure pas au bout de quelques heures nous voilà au pré avec des vagues qui cassent la vitesse. Le moteur est mis à contribution pour finir le parcours. Mouillage au Sud de Kythnos.
Remontée de Kythnos pour le mouillage de Méricha beaucoup de monde des deux cotés.
Avitaillement en ville et départ vers Kéa. Pour boucler le séjour de Frédéric.
Pas de bon vent pendant son séjour ; dommage.