Une goelette

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grece, mer égée, Greece
A la retraite ,parti conquérir le monde ,me trouvant bien partout ,je ne crois pas en faire le tour.

dimanche 14 octobre 2012

De Paros à la première pluie


 De Paros à la première pluie.

Après avoir fait une journée touristique à terre en compagnie de Françoise ,Thierry et Tallio .Visité au hasard  des panneaux indicateurs les lieux les plus exceptionnels et « uniques » présents sur les 2kms à la rondes ,
 
 
 
 
vu des ruines
 
 
 
 
 
 
 
 vu des cailloux vestiges de temple historique,
 
 
 
 
 
 
 
grimpé sur des pitons pour observer entre les grilles cadenassées le plus bel édifice de la Grèce antique « unique » en son genre  un peu déçu qu’effectivement en tout lieu  de la planète chaque chose est « unique ».
 
 
 
 
Blasé, la journée se termine dans un lieu « unique » en barbotant dans l’eau et en faisant une partie de nanno avec le chien.

Hormis ces considérations personnelles, la balade et la journée  ont été formidable. A force de voir des choses « uniques » je trouve tout pareil.

 
 
Retour au bateau avec l’envie d’aller voir d’autres choses « uniques ». La métèo est favorable dans le texte pour demain aller vers Sifnos le mouillage de la baie de Pharos protégé. Meeting avec  Troll pour la décision de poursuivre nos routes en commun. Pour moi qui veux aller à Sirros, il me faut tirer des bords pourquoi pas un grand bord vers une ile qui m’est inconnue.

Si bien que le lendemain nous partons vers Pharos chacun sa route le vent est bien mou je passe au Nord des ilots de Toylorios ,Troll en dessous. Le vent escompté dans le chenal n’est pas au rendez vous. Le moteur est mis à contribution. Presque toute la nav sera faite avec du vent de cale. Mon entêtement à chercher le vent me fera arriver bien tard à Pharos.

Apéro dinatoire sur Troll.


Départ le lendemain pour Seriphos  encore une ile inconnue. Le vent  toujours mou un premier bord pour passer le premier cap  puis une remontée très molle le long de Sifnos.

Je continue à être joueur le plan météo est que le vent doit tourner Sud Ouest pour le moment je bataille au pré et n’avance pas je me mets à 60° du vent, les bonnes voiles  effectivement l’allure augmente  puis le miracle météo arrive le vent tourne j’effectue un demi cercle qui me ramène presque sur ma destination finale ; j’abandonne le jeu et lance le moteur à 5 Milles de l’arrivée de toute façon j’étais encore  trop haut.

Une place cul au quai me permet de recevoir  les amis et le chien sur mon bord puisque au mouillage Tallio ne peut pas monter sur le bateau.

L’octopus  prévu pour la veille est à point.

 
 
 
Nos routes sont différentes maintenant Troll quitte Sérifos pour rejoindre Poros  où la région.

Moi je reste attendant une bonne météo pour Siros. Pas trop pressé par le temps j’en profite pour découvrir l’ile et sa Chora magnifique vu d’en bas.

 
 
Le site est magnifique, les autochtones pas du tout aimables, blasés.
 
 

Sur le quai un va et vient de bateaux surprenant pour la saison. Un bateau Français arrive rencontré à Amorgos où l’on avait échangé quelques bons plans, retrouvailles, rèaperos. A bientôt sur l’eau. C’est simple sans formalités ni promesses.

Une semaine à profiter de la vue, de  l’Edf pour l’eau je suis petit consommateur, peu pour l’ouzo et pour le lavage des dents un petit rouge moyen fait l’affaire.

Demain je pars l’ami théo est bonne. C’est conforme du vent dans la baie un petit zéphire dehors, mais dans la bonne direction. Ca avance sans violence .Arrivée vers Sirros le vent s’enhardi est me fait rattraper le temps .J’arrive à Ermoupoulis les places que je convoitais son prises par des bateaux installés pour y rester. La marina ne m’inspire pas  s’est la première fois que j’y rentre .Il faudrait construire un grand monument à l’architecte pour pouvoir le pendre, faire des quais en arcs de cercle quel génie. Comment accoster ? Heureux d’avoir contemplé cette marina hors service avant d’avoir existé. Je me rabats sur le quai de la ville autre lieu pas triste les postes d’amarrages sont devant les terrasses des tavernes quand tu sautes à terre pour t’amarrer faut faire attention à ne pas atterrir  dans une assiette de Moussaka. Les boules Quies sont obligatoires.

Donc mon escale à Sirros de courte durée dès le lendemain je pars pour Thinos. Autre lieu déjà vu mais avec l’intention de visiter l’intérieur de l’ile qui cache des trucs « Unique ».

Arrivée cul au quai sans problème, au printemps quand j’y étais passé il pleuvait le marbre du quai étant mouillé j’avais eu recourt à l’aide d’une promeneuse de chien pour m’amarrer, aujourd’hui c’est sec je peux sauter sans crainte de partir en aquaplaning  sur mes baskets.

 
 
 
 
 
 
Le bateau Français à coté est celui de Pierre louis et sa compagne  rencontrés  à  Amorgos et qui vont hiverner à Oropos.

Ils ont fait la visite de Tinnos  et m’indique les bons coins. Malheureusement pour moi le 3 sacs à dos du routard est fermé le Mardi « unique « musée de la mine et des métiers du marbre de pyrgos.

 
Je commence ma visite par le monastère de bonnes sœurs, bof.

Les villages de l’intérieur  Agapi très beau que l’appareil photo refuse de prendre à sec de piles .Les paysage avec rochers ronds très beau les bords de l’eau de l’autre coté bof.

 
 
 
 
 
Une épicerie vendant des piles qui rendent vie à mon pilivore d’appareil.
 
 
 
 
 
 
L’extérieur du musée du marbre  visite de Pyrgos  beau beau.
 
 
 
 
 
 
A défaut de visite du travail du marbre je me fais celle du cimetière avec ses tombes ciselées  dans du marbre.
 
 
 
 
 
 
Le pavage des rues  en marbre certaines dalles sculptées.

 
 
 
 
 
 
Retour en passant par le sommet de l’ile pour se dégourdir les jambes et jouir du panorama ascension facile  beau.

Retour au bateau .Puis départ pour Kéa le lendemain.

 
Bon Kéa sera pour une autre fois plein vent arrière aller sur Andros est bien plus sympa. Avec l’envie de me faire un mouillage sur la cote d’Andros, l’endroit visé une crique en dessous de la pointe Strophilas  de loin une coulée de verdure descend jusqu’à une plage, j’y arrive ; tiens ! Un élevage de poissons m’étonnasse ! Qu’est ce donc ces bouées, je ralentie mon approche les fonds deviennent  distincts  de toutes les couleurs bleu, blanc, rouge, vert  pareil que la plage qui dépasse de 2 m le niveau de l’eau. Je devine que mon paradis escompté est une  ancienne décharge, les bouées pour retenir  les déchets flottants à une certaine époque et les fonds multicolores tout ce qui ne flottent pas. Demi-tour vers la civilisation.

Devant le ciel s’assombri  comme j’avais affalé les voiles je replis celles du milieu. Je prends la direction de Basti un baie avec un port. Et le grain arrive je suis obligé d’y aller .Les premières gouttes d’eau de la saison commence à tomber, un rinçage je suis dessous  comme à la douche. Voilà l’hiver. Je me mets au « mouillage »  

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