Une goelette

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grece, mer égée, Greece
A la retraite ,parti conquérir le monde ,me trouvant bien partout ,je ne crois pas en faire le tour.

lundi 1 juillet 2013

Du coté de Karaburun le terrible

Un petit retour en Europe. L’ile de Lesbos est à 12miles ;de plus au vent arrière.
Mytilène j’y suis venu avec de bons souvenirs en tête. A l’époque la marina était free maintenant elle est reprise en gestion par une société Turc.


Le quai de la ville toujours pareil avec ses Coast guards paranos. Maintenant il faut se présenter à l’entrée du port au coup de sifflet pour dire d’où tu viens et où tu vas. Cette chose extraordinaire est transmise au bureau principale ; incroyable.

Bon après du te démerde pour trouver une place, chose faite il y en a un garde cote  qui vient te demander de te présenter au bureau.
Au bureau le Bla Bla habituel, les papiers à remplir, le crewlist, le transit log. grands moments de bureaucratie, surprenant et je les félicite il connaisse le nom du bateau que le planton a dû communiquer. Une fois coché les cases nom du pitaine moi ,du proprio moi, du mécano moi ,du moussaillon remoi. Je me mets à penser qu'en face chez les Turcs il y a le document d’entrée une fois fait je n’ai vu personne dans tout les ports fréquentés et, là dans chaque port j’ai le droit aux mêmes démarche administrative qui ne sert à rien étant en Europe et étant en principe libre d’y circuler. Enfin la police est là pour te rappeler que tu es libre.
Bon, c’est Samedi tout est fermé l’après midi, le Dimanche matin presque tout aussi,
Lundi je réquisitionne un taxi pour une virée gros avitaillement chez le Lidl du coin.
Chose faite, le fuel, interdit où je suis, je peux le comprendre le camion boucherai la route.
Ok pour demain avant de partir quand j’aurai fait encore la suite des papiers le coup de tampon libérateur  et payé.
Le garde cote téléphonera au fuel je n’aurai qu’a me mettre le long du quai ou ça ne gênera pas.
J’exécute, le camion arrive direct dans la zone franche de l'autre coté de la grille sous douane où son parqué les réfugiés, découverte faite,à ma grande surprise,   effectivement il y a des réfugiés qui arrivent de je ne sait pas trop d’où ; Iran, Afghanistan, d’après le planton.





Un pope était entrain de distribuer des fringues, un autre de faire des photos d’identité et de donner de l’argent pour le shopping. Shopping sur place au cul d’un camion. Bref, je n’ai pas trop voulu faire les voyeurs étant mal à l’aise devant cette situation.








Donc la place en long à 50 m n’est pas la bonne il faut que je vienne sur le quai sous douane, me frotter aux super boudins qui marquent tout ce qu’ils touchent.
Trois cent cinquante Euros plus tard, je quitte Mytilène.



Retour en face, changement de drapeau en court de route le frigo plein de denrées rares.
Une navigation de rêve parti avec peu de vent dans une direction loin de celle prévue le vent tourne petit à petit m’amenant directement dans la passe de Bademli Limani deux îlots avec des fonds de sable donnant à l’eau une couleur turquoise magnifique, peu de fond se méfier quand même.



Je vais me faire un mouillage en face des sources chaudes, il y en a un peu partout.
Je n’ai pas besoin de réchauffer l’eau qui est à 26° et 31° pour l’air. Pareil qu’en Bretagne 5° de différence 13 et 18.








Une nuit paisible suivie d’une journée active, bilan rien. Baignade, balade, bouffe je garde mes trois B, je ne suis pas dégradé par une agence de notation.










Bon le vent est tout mou. Il me fait la surprise pour un Meltem « nouveau » de se mettre à souffler en soirée me rapprochant du rivage et tous les inconvénients qui nuisent à une nuit tranquille.













Je lève l’ancre pour en face obligé de mis reprendre à deux fois .Maintenant il fait nuit noire, je pioche au hasard ne voyant plus les zones de sable et d’herbes. Rien ne tient le vent culmine à 25nds dans les rafales.
Il me faut du sable, il y en a de l’autre coté du chenal en avant toute en suivant les lignes de sonde il y a des hauts fonds à contourner.
Arrivée sur zone 1 er essai pas bon. Une brouette d’herbe.
Au second là il n’y a pas photo s’est blindé sa tient et si ca part il y a de l’eau  à courir .Alarme de mouillage et au lit d’un œil.
Le jour se lève le vent va se coucher pas un souffle au petit jour.
Grasse mat pour récupérer.

Départ vers la suite, un mouillage à voir sur Kizkulesi qui peut être intéressant avec la météo que j’ai.
Sur place un peu étroit au milieu des cailloux bien pour casser la croûte, de là à y passer la nuit surtout avec l’instabilité des vents actuels .








Je continu mon chemin vers Foça approche un peu tordue.
Le vent qui se met en colère à la sortie d’un caillou de10nd de travers  à 25 dans le nez. Effet de cap ou d’autre chose.








Enfin j’arrive et tourne dans la baie de Foça pas trop d’abri la houle rentre et le seul endroit à l’abri est le port de pêche qui ne m’inspire pas. Il y a un endroit qui peut faire l’affaire bien que pas trop dans les normes devant la presqu’ile au Nord qui me protège de la houle mais pas du vent. Je mouille par 3 m ca tient.
Le vent se calme dans la nuit finalement le mouillage est bon.




Je rentre en contact avec un voilier qui navigue dans le coin depuis pas mal de temps auteur d’un article sur le Meltem qui le jour de sa publication lui jouât le tour de souffler à l’inverse de ses prévisions. Anecdote.
Donc on se retrouve à Mordogane port tout neuf sans aucun équipement. A6 miles plus avant que mon objectif.
On est Vendredi journée trés importante dans ce Pays.



Couple sympa, une bonne journée à parler Marchés (pas la bourse, non) ceux que je faisais moi à vendre des fleurs, lui dans la boucherie.
Deux heures de trajet le lendemain pour rejoindre les baies de Balikliova finalement je trouve celle de Gerence Köyu très belle avec mouillage cul à terre au milieu de falaises blanches que j’y reste.









Bien que la météo soit une science de comptoir il faut en tenir compte. Si je ne veux pas me trouver bloqué une semaine il faut que Dimanche soir je sois à Foça ou avoir passé le cap de Karaburum.









Bon je suis arrivé à Foça. Grosse houle et vent dans les derniers 8 ml. Je connais et vais mouiller comme il y a deux jours entre deux bateaux déjà présents.










Se qui rassure s’est que l’endroit et connu dans l’après midi tout se qui flotte rappliquent.











Au moins j’ai du spectacle aux premières loges pour les danses du ventre sur un bateau de mâles.











Le calme est revenu tout le monde est reparti.

Demain si Eole le veut Oinoussa.

dimanche 23 juin 2013

Ayvalik et allentours


Mon idée de faire halte à Küçükkuyu à fondue sous la chaleur qu’il faisait dans le port.

J’ai fait mon avitaillement et recherché un peu d’air au large en direction de l’archipel d’Ayvalik.

Douze miles à faire aux grés des risées. Navigation éprouvante pour faire négocier les 15 tonnes du bateau au frisson d’air et  le faire avancé.
Trouver aussi une zone d’ombre pour protéger mon teint de pêche (rajoutez pas pêche de vigne).

Enfin voilà 12 miles en une journée, j’aurai pu reculer. A moi le Vendée globe.

Finalement arrivée comme il se doit avec un peu d’air, le choix des mouillages ne pose pas de problème.

La première nuit dans la baie de Porosélene. Pas gêné par les voisins je suis tout seul.

Baignade pour me rafraîchir.

Je m’essais à la pêche, bredouille. Encore du poulet au repas.

La solitude !!! C’est bizarre de se retrouver seul au milieu de tout. J’ai du mal à définir la sensation.

Un grand bonheur de pouvoir contempler quelque chose que j’aimerai partager.

Ou, l’égoïsme de garder pour moi ces moments uniques.

Une plénitude qui m’apporte comme une drogue l’extase de vivre des instants qui ne sont qu’à moi.

Un mélange qui me contente et me fait peur.

Extase renforcée par un ou deux verres de punch Grec. 1/3 ouzo ,2/3  jus d’orange, excellent.

Nuit calme sous une lune naissante, réveillé par la fraîcheur dans mon hamac, je rejoins ma couchette. Ca aussi le hamac  c’est excellent.

Bon ; il me faut un endroit pour ce soir à l’abri du vent qui doit venir pour quelques jours  ventiler ma zone.

Ca ne manque pas je me choisi le Sud de Poyraz adasi. Horreur en y arrivant il y a déjà deux voiliers plus les bateaux de touriste sonorisés. Retour à la civilisation.

 Bon je m’établis dans le sud est de Mosko adassi, très joli entre deux villages de vacances et deux bateaux moteur au mouillage. Forêt de pins et crique sympa.

Tellement joli que les bateaux de touriste viennent faire faire la trempette à leurs clients au son de la musique à la mode. Enfin « ne me quitte pas de Jacques Brel » je supporte.

Herbes dans les fonds qui me font refaire le mouillage à trois reprises. Finalement bonne tenue il y a eu des rafales à 35 nds.

Les voisins se font une partie de pêche  en soirée je les imite ,tableau de chasse 4 poissons  pour demain.

Le lendemain je complète ma friture me limitant à une portion  arrivé à 10 je stoppe je ne suis pas un prédateur.

Un break dans mon écriture un instant à vivre, je suis à Mytilène en Grèce  sur l’ile de Lesbos  cul au quai devant le drapeau  Grec, il y a foule s’est le couché des couleurs une fanfare arrive avec une escorte de militaire  qui défile. Le cérémonial se déroule  fanfare hymne  national les gens qui le reprennent en cœur au garde à vous.

Que penser ? Moi j’ai fait mon idée.

Bon reprenons je suis en face entrain de vider ma friture, qui va me changer du poulet.

Couché de soleil à ma droite levée de la lune à ma gauche  vont-ils se rattraper ; je le saurai après une bonne nuit.  

Envie de bouger voir la suite .Entrer dans le lagon « le lac ».

J’y vais suis le chenal bien balisé, petit tour dans le port d’Alibey hélé par les taverniers .Non je ne veux pas me lier à votre terrasse.
Porté par le vent assez costaud du moment je descends dans les baies du Sud. Çamlik korü sous les rafales.

Je remonte difficilement dans Kumru Kôyü  un peu protégé par un promontoire mouillé dans 2m faut le faire sinon je me retrouve dans les rafales. La tenue est bonne  le bateau reste dans l’axe du vent.

Pas de friture, poulet.et salade.

Deux nuits sous le vent finalement ca se calme et je retrouve le mouillage entre les villages de vacances plus à l’abri que je n’aurai pas dû quitter tant est décevant l’urbanisation du « lac’ ».

Péripéties tout de même, en sortant du chenal étant au moteur et à la gîte se que je craignais et que j’aurai pu éviter m’arrive le moteur se désamorce et cale. Me voilà à tirer des bords pour me rapprocher de la zone de mouillage mais Matins Bleus ce n’est pas du genre dériveur.

Finalement je mouille dans 15m d’eau du jamais fait. Ca tient bien.

Et maintenant j’ouvre le manuel. Il reste du fuel dans la cuve .J’ai 80 litres en réserve de se coté pas de soucis.

Et vas y je purge, je pompe, je sue, je jure.

Et ! Et  youpi ca redémarre.

Bravo Philippe, à quand la prochaine C………

Il y a des moments que personne ne souhaite partager avec moi, ca se comprend.

Je remets à demain le transvasement des jerricans il y a trop de vent le fuel part à l’horizontal.

Samedi mon mouillage commence à ressembler à un rassemblement de tout genre. Weekend   oblige.

Direction en face pour la levée des couleurs.

Je suis à Mytilène, tout fermé pour la fin de semaine.
Je ne résiste pas à la tentation de vous offrir un petit bleu Européen et un bleu de mytiléne.
Les travaux financés par les portes plumes de Bruxelles  pour la construction de la marina .Jamais mise en service pourtant finie.
Elle vient d'être reprise en gestion par les Turcs .
Bof!!!!

mardi 18 juin 2013

Küçükküyu

Après la pluie le beau temps, enfin presque, des nuages à grains se baladent encore.
Surement de la faute aux orages de la nuit ,la météo est toute molle les 15 /20nds sont restés au lit.
Je me dandine avec maxi 10nds vent arrière les voiles portent dans les risées le courant m’emmène plus que le vent.

Finalement dans les dernières heures de nav le vent arrive, je n’irai pas à Canakkale comme je l’avais espéré, mais je me fais une halte à Gelibolu; après avoir tenté de m’installer dans le port minuscule,
l’entrée doit faire moins de dix mètres de large, dans les remous des ferries.Le port est entouré de restos et plein de barques de pêches avec des bouts qui vont dans tout les sens,demi tour immédiat. 
Une baie un peu plus loin a fait mon affaire, me laissant perplexe devant un gros orage qui arrive, chance il  passe sur les hauteurs épargnant le mouillage.Quelques rafales pour tester la tenue de l'ancre et il poursuit son chemin.
Lendemain direction Canakkale où j’arrive en début d’après midi, mouillage devant la marina, sieste et petit tour en ville pour quelques denrées pour la suite.
La ville est plaisante,







quelques manifestants font du setting.







Le bord de mer est bordé de monuments variés.








En ville des enseignes connues

Retour à bord avec un peu d’appréhensions le moteur de l’annexe a calé dans le port en arrivant pourvu qu’il me ramène au bateau contre le vent. Ben oui il l’a fait, le mignon, sinon il m’aurait entendu le bougre.
Départ pas trop matinal pour un mouillage sur Bozcada.
Un peu de vent plus le courant me font faire des pointes à plus de huit nœuds, je ne cherche pas les bords, je suis en plein milieu du chenal, d’accord ce n’est pas bien, dès qu’un gros arrive je me mets parallèle à lui le temps qu’il passe.
Le final des Dardanelles est avalé en moins de deux, le mouillage prévu à porté d’un coup de fusil.
Je suis joueur ,je continus ,je double, direction Babakalé le vent m’accompagne ,un rêve de nav .



Babakalé, joli port dans un village qui essaie d’être accueillant, les gens sont gentils, présents pour prendre tes amarres,





la ville est « pittoresque »  un peu détruite abandonnée.






Les femmes ont une taverne resto avec stand artisanal local, conserves, tissage etc.







Maintenant je suis à Küçükkuyu, pourquoi ? Parce que le nom m’a plu. Vingt cinq milles à l’Est de Babakalè.




J’ai longé la cote qui est très jolie, un peu abimée par des villages de vacances à l’architecture pas très heureuses. Mais il y a moins de béton que sur la Cote d’Azur.

Küçükküyu est un port  de pêche faisant suite à une grande plage de sable assez touristique, j’ai envie d’y faire une pause si la météo le permet.Il y a de tout pour faire les courses.

jeudi 13 juin 2013

Essenkoy et la suite


Essenkoy et la suite

Arrivée à Essenkoy Tamer la tête dans le guidon pour m’accueillir et prendre mes amarres.

Il m’a vu arrivée et laissé son antifouling pour m’aider.

Formalités d’usages : « ca va «  ca va «  comment tu vas » «  ca va »



« Demain c’est vendredi je ne peux pas venir je serai à la mosquée mais Samedi tu peux rester je t’invite c’est gratuit. »

Donc départ Dimanche.

De peur de me barber, je vais me faire raser, un délice à renouveler pour pas cher.

Petit bonjour au tenancier du magasin de téléphone que j’avais mis à contributions lors de mes ennuis de connexion. Un petit thé. Ce coup ci s’est moi qui invite, lui il n’a qu’a sonner le "Théman " qui arrive aussitôt le téléphone raccroché. Comme on est tout les deux « litle English » la conversation a ses limites.

Une envie de viande rouge me fait passer chez le boucher, pas trop le choix enfin un truc qui pourrait être du filet. Surprenant difficile à couper cru, tendre cuit.

Dimanche départ le vent doit être là fichier Gribb l’a dit. Non l’est pas là.Grrr !!!

Et puis il arrive dans le sens contraire ; la route n’est pas bonne je fais avec.
Pour le soir jeter l’ancre au milieu d’un port de rencontre même pas dans   Google hearth. Taillé dans la falaise entre deux villages.

Nuit calme départ à l’aurore vers les midis .







Surprise un  chalutier vient à ma rencontre et m’aborde avec  un des gars qui me tend un cageot de friture. Il va falloir que je songe à installer un barbecue.








Je me dandine vers un autre endroit j’ai le choix il y a des ports partout,











ils ont du avoir des ristournes pour les faire. En fin d’après midi je suis attiré par un amas de chalutiers à la campagne.*










Il y en a dans tous les coins.











Puis le port,












une goélette m’accueille avec Brahim à son bord  skipper, gardien je ne sais pas  et m’en fout.










En tout les cas il aime bien le rhum. Au troisième il part se coucher, pourtant il m’avait invité à manger ?

Une nuit de bébé (attention une nuit de bébé ca peut être je dors, je pleurs, je salis ma couche, je mange) je n’ai fait que dormir.




Petit tour en ville .


L'arrêt du bus









Je suis le seul touriste,












j’ai l’impression de faire une campagne électorale il me faut dire bonjour à tous le monde,










 je regarde une partie de domino je dois m’assoir pour boire un thé.










Je photographie  l’environnement de tout ces gens.










Pas drôle.











Retour au bateau, Brahim se réveille je lui fais mes adieux direction ailleurs.










Un autre port  aussi déglingué, un type vient à ma rencontre dans son canot, il m’indique ou je dois me mettre en Anglais. J’obéis il a un chapeau de sheriff.

Plus tard en soirée « captain,captain «  Ok j’ai compris faut payer, non il m’apporte de la friture.

J’essaie de lui dire que j’en ai deux kilos dans le frigo, je n’y arrive pas et m’extasie devant son cadeau. Donc se qui me reste d’hier je le donne aux chats et mange les siens qui sont excellents.

Tout le monde se régale.

Petit tour dans le village et la campagne












la R12 est toujours voiture de l’année.











Les motoculteurs en 4x4.











Jour de marché dans un chemin creux. Pourtant il y a de la place en ville ?










Les pavés des routes sont sous 10 cm de terre ravinée.










Direction Erdek vanté par des voileux de rencontre. Dans le guide une page entière pour le port ?

Finalement une place de libre sur un quai au ras de l’eau qu’il m’a fallu sauter pour mettre mes amarres à me rompre le cou. Avec difficultés pour remonter à bord. Heureusement  la télécommande  de l’ancre dans la main.

Bon Erdek grande station balnéaire Turc des restos des bars à thé.

Pour boire une bière il faut la cacher au pied de la table.

Et pourtant de la pub partout.

La météo est prometteuse pour la suite, effectivement le lendemain la sortie du port se fait sous les rafales vent presque arrière, le bateau file à plus de 7 nœuds mais il est mal équilibré, trop de grand voile .Réduction.

Puis le vent tourne est pendant 5 miles le cirque de 5 nds ca passe à 20 dans tout les sens. Les effets de terre et de son relief.

Finalement le vent promis arrive et le reste fut une belle navigation .Quand même !!!

Pour me retrouver dans le port de Murfette le soir accueilli par les pêcheurs qui gèrent une coopérative et leur port eau et électricité payant .normal.

Orages en soirée le bateau est rincé .Je suis bien content d’être à l’abri.

Demain les Dardanelles