Une goelette

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grece, mer égée, Greece
A la retraite ,parti conquérir le monde ,me trouvant bien partout ,je ne crois pas en faire le tour.

samedi 28 mars 2015

Quatre mois et plus



Quatre mois et plus.
Celà fait plus de quatre mois que je n’ai pas eu l’occasion d’écrire sur le blog.
L’inspiration je l’ai en solitaire dès qu’il y a une personne dans mon entourage ,impossible d’écrire, tout simplement  à partir du moment où je partage les instants ,il m’apparait inutile de laisser une trace.
Finalement mon blog et pour mes futurs et lointains vieux jours lorsque j’aurai rajeuni et me promènerai en couche culotte, ne consommant que de la bouillie .Pourchassé par de haletantes infirmières  moustachues en furies ( j’aime les poils).
Me revoilà sur Matins Bleus mais z  avant. Il y a quatre mois .
 





Un cours séjour à Skopélos .











Rendu la maison de Andy à son propriétaire ; donc occupation à vider les lieux.  Les oranges n’étant pas mures pas de confitures.











Dommage pour la maison ,il commençait à y avoir le grand confort.












Le ferry à Loutraki pour volos. L’ami Spiros à l’accueil des passagers l’impression d’avoir bouclé un cercle ,il a été un des premiers rencontré sur l’ile lors du jour de l’an 2010 passé dans sa famille souvenirs pour moi immortels.






Volos trop tôt pour voir les Amis et avoir des nouvelles de leur petite fille . Autres souvenirs ; leurs dévouements pour me guider dans leur ville ,pas souvent de nouvelles mais une amitié.

La route est belle jusqu'à Igoumenista première fois que je la fait de jour .
 
L’hôtel ,le ferry ,toujours les ombres des clandestins qui ne savent que courir évitant les réverbères , je ne comprends plus rien, pourquoi ? Je me sens mal dans cette société.




Venise ,l’Allemagne déchargement des trésors embarqués à Skopélos. Grincements de dents de ma part.








La Seine et Marne, je viens squatter chez Tonton et Tata .Un petit coup de pinceau chez la cousine dans l’ambiance Parisienne et voilà Noël suivi comme il se doit du jour de l’an.

Retour à Paris pour la deuxième couche sous la férule sympathique de Dominique.
Des animaux font un massacre . Pour qui ?pourquoi? Surement pour le monument de la connerie
Entre temps visite aux Amis régionaux ,passage au salon nautique.
Puis j’entame mon tour de France.
Un tour dans la région de Tours. Papotage, bavardage qui se termine aux urgences de l’hôpital, mon copain fait une  crise de je ne sais pas quoi qui me fait passer un après midi dans la salle d’attente. J’en ressort malade ,lui guéri .
Arrivée dans le Sud ouest ,j’ai l’impression de laisser un sillage microbien tout le monde se couche derrière moi .
Enfin entre grog et drogue j’arrive à survivre.
La forme n’est pas celle connue jadis, j’ai du mal à enchainer le petit dej suivi du casse croute précédent le repas, heureusement il y a la soupe du soir juste avant le grog.
 
Je quitte Sanguinet en laissant une Nièce à l’agonie , un Beauf gouttant du nez , une petite Niéce sur le chemin de retour de l’école en urgence. Je me suis proposé pour aller la chercher , dans quel état je l’aurai rendue à sa famille.
Donc départ vers le pays Basque , petite halte à la pharmacie pour quelques provisions de route.
 
J’arrive à Cambo chez Jo qui ne craint pas l’arrivée de mes microbes étant déjà sous antibiotique seul une rechute serait fatal.
Comme il a du rab je lui fini ses potions, il y a du mieux . Je tente une visite au cousin en fin de semaine .Pas de nouvelles depuis ? Ca m'inquiéte.
Je vais mieux ?
Visites à droite et à gauche chez les Amis.
 
Rencontre avec Jean mon copropriétaire du bateau , rien de changé sur l’avenir de Matins Bleus. Rencontre amicale , impossible de se fâcher avec lui, j’ai trop de sympathie  en souvenir du temps où l’on était pas associé. C’est comme çà.
 
Direction le Sud Est ,La cousine à Ales ,court séjour .
Salon de Provence , ma base chez mon Frére.
Péripéties administratives à la sécu ,une pièce de théâtre ; j’en ai honte pour la mobilisation de tant de personnes pour une broutille à 2 balles. Trop long à raconter je préfère l’oublier.
A la Banque Populaire la conseillère incontournable est en vacances et il n’y a qu’elle qui peut s’occuper de moi. A son retour il y a tellement de monde qui veut la voir que les délais son plus long que ceux du cardiologue.
J’enrage de mon impuissance à ne pas pouvoir régler le moindre problème. Calme Zen !!! ouf ouf ouf grr…GRR.






La suite à bientôt.

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