Une goelette

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grece, mer égée, Greece
A la retraite ,parti conquérir le monde ,me trouvant bien partout ,je ne crois pas en faire le tour.

mardi 4 juin 2013

Descente du Bosphore

Les mouillages sont rares dans le Bosphore.


J’en tiens un bon et ne le lâche pas tant que zgrib le fichier météo ne me donne le feu vert pour descendre. Je veux une navigation de rêve, dévaler le Bosphore comme une flèche.






Ce n’est pas pour demain tant pis je suis au milieu de la verdure à observer les dauphins et les pêcheurs même combat la tactique est la même.






Les dauphins tournent en rond et font un maximum de remous puis après je suppose c’est la curée, ils sautent, plongent le tout dans un vol de mouettes.







Pour les hommes ils arrivent avec leur bateau, un filet est dévidé en un grand cercle. Et le bateau tourne dedans dans tout les sens, ca attire les mouettes et les dauphins qui sont à l’extérieur du piége,





puis après le bateau remonte le filet avec ses prises dedans.

Spectacle, deux séances par jour.Ca occupe le temps.

Enfin demain je peux y aller.



Planté bizarre pourtant avec tout leurs satellites les sondes et tout le bazar ils n’ont quand même pas bouffé les grenouilles les seules à peut prêt fiables. Le vent duNord qui est au Sud pas possible, bon tant pis la ronde des dauphins j’ai vu quatre séances stop.




J’y vais de toute façon sa doit mollir.

A houais 20 nd dans le nez vent contre courant j’avance moins vite qu’en montant. Je me cherche un plan de repli un mouillage, n’importe quoi fera l’affaire.




Je zig zag traverse vers des endroits qui sembles propices impossible 30 m de fond à 10 m de la rive,







rive privée devant des cabanons en bois avec leur vaisseau devant.








Ailleurs il y a trop de resac. Ou zone militaire.










Je trouve un endroit avec un gros corps mort de libre un bout gros comme le bras. Impossible de le sortir de l’eau par contre lui il se met dans l’hélice heureusement pas embrayée je me retrouve attaché par le cul avec le vent en prime. Mon neurone cherche la solution j’arrive bien à faire tourner l’arbre à la main se qui m’éloigne de la bouée puis à un moment ca bloque, Je me prépare à plonger j’y vais jusqu’au chevilles qu’elle est froide.

Je prépare l’annexe pour une ultime manœuvre. L’idée retirer la tension dans le bout en en passant un autre et depuis l’annexe avec la gaffe dégager l’hélice, au besoin coupé.

Deux types arrivent en barque, on commence la manipulation j’aide de l’intérieur en tournant l’arbre.

Je suis libre il y avait un gros nœud qui devait se coincer au final hors tension il et sorti.

Je poursuis ma route, avec la certitude qu’une fois passé Istanbul le vent tombera. Non toujours là

Vers les iles des princes le seul endroit où je peux trouver un mouillage.



En attendant je remonte et traverse la corne d’Or presque pas de trafic.

Sous le musée de Topkapi je pense au port de pêche.





Chance j’y trouve une place en plein cœur du vieil Istanbul.








Chance pour le moment, je ne sais pas se que sera la nuit ?



















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