Une goelette

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grece, mer égée, Greece
A la retraite ,parti conquérir le monde ,me trouvant bien partout ,je ne crois pas en faire le tour.

dimanche 20 octobre 2013


Kéa 2013

 
 
 
 
 
Bon me revoilà à Kéa, l’hibernation en vue, encore faut-il l’atteindre.

 
 
 
 
 
 
 
A Epidaure, la soirée musicale s’est bien passée en fait il s’agissait de l’anniversaire de la bataille de Salamine. J’ai rien compris aux discours des orateurs mais les images qui défilaient sur l’écran ne laissent  aucun doute.

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
J’attendais l’intervention sur scène de mon nouvel équipage. Petit groupe de jeunes  qui s’est laissé photographier sur le bateau. Pour mon plaisir et j’espère le leur.

Donc soirée raisonnable en danse folklorique, mes craintes d’une nuit blanche écartés.

Matinée occupée à discuter avec un campingcarsioniste Français, de la dette du pays, je ne partage pas son avis tant pis. J’ai affaire surement à un banquier.

Visite chez les coast guard remontage de bretelles de leurs parts, je n’ai pas de tampon depuis plus de trois mois sur mon crow List. Quel dommage  que je ne puisse pas m’exprimer et donner mon avis sur leur paperasse, plus d’une heure pour leur refiler 9 € encore là ils rentabilisent ils ne sont que deux  à s’occuper de moi. J’ai le droit à un post hit pour me rappeler la date de la prochaine échéance.

Bon je retourne au bateau le crédit des bornes étant épuisé je lève l’ancre pour un peu plus loin. Petite anse 2.5miles plus loin. Joli une plage dépotoir, une chapelle avec les clefs sur la porte. Les sous bois  avec les restes d’un squatte. L’eau transparente. Rêverie devant les déchets que du plastique. C’est rigolo une tong seule, une tête de poupée, un râteau  pour faire des châteaux de sable, un tas de bouteilles, une vrai poubelle de plage. Je récupère un rapala dans un morceau de filet.

Je suis vraiment très occupé.

Deux jours plus tard ayant fini d’explorer ma poubelle je pars vers en face  pas trop de vent mais je ne vais pas trop loin. Quand j’arrive l’endroit choisi ne me convient pas, trop propre. Non, je ne me sans pas à l’aise dans l’environnement, je vais un peu plus loin finalement le temps passe et je mouille à la tombée de la nuit  sur Nissos Moni  proche d’Aigine.

Le vent tourne dans la nuit des vagues viennent me faire danser. Une heure du matin ,15 nd de vent. Bon j’y vais pour monter sur le Cap Soumion  s’est bon presque une aubaine.

 
 
Au large plus de vent quelle chiotte, direction Poros j’arrive à faire du 3 nds  finalement je mets le moteur et me retrouve à mouiller devant Poros à 5h du matin, plus qu’à dormir. Un petit tour chez Lidl, la pluie arrive à mon retour, un orage vient rincer le bateau, j’ai eu juste la chance de remonter le moteur d’annexe, au cas ou il me faudrait partir.
 
 
 
 
 
 
Les rafales sont fortes, les bateaux au quai de la ville se sauvent les uns après les autres. Anak est parmi eux, Pierre tout à sa manœuvre ne vois pas qu’il vient mouiller juste auprès de moi.

 
 
 
 
 
 
 
 
Lionel de Swing est aussi dans les parages j’ai sa visite, le soir giropita avec Pierre et Bernadette d’Anak en faisant un crochet pour l’apéro sur Swing.

 
 
 
 
 
 
 
Mon périple touche à sa fin, plus qu’à remonter vers le chantier. Je quitte Poros en saluant les amis présents.

Deux options  le cap Soumion ou Kéa. Belle navigation jusqu’au cap Soumion, après je me traine, le vent molli, je fini au moteur.

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
A l’abri dans Kéa, la météo n’est pas très réjouissante du Nord pendant une semaine avec un gros coup Vendredi prochain. Je me résigne à passer un certain temps ici.

Au matin le vent est plus à l’Est, je tente une sortie vers Porto Rafti que j’atteins facilement ;
 
 
 
Maintenant je suis au mouillage, plus qu’à attendre que le vent me permette de faire quelque chose.

Bouphalo avec les calamars farcis  ou Marmaris avec le boucher taverne. Dans les deux des amis à saluer.

J’oubliais de dire que je suis le roi de (tout ce que l’on veut) en deux jours je rate deux espadons. Ils sont au cul du bateau, le premier case la ligne est part avec le rapala, le second en voulant le crocheté je donne un coup sur le leurre qui se défait de la gueule de la bestiole qui se sauve. J’ai épuisé le stock de jurons en ma pocession ,on n’a du m’entendre jusqu’à Athènes. Pas facile tout seul ,il faudrait arrêter le bateau. Bon ,aller je me calme. En tout les cas c’est la saison .  

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