Une goelette

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grece, mer égée, Greece
A la retraite ,parti conquérir le monde ,me trouvant bien partout ,je ne crois pas en faire le tour.

dimanche 30 mai 2010

Après le Mont Athos

Après le Mont Athos ,Limnos,Efstrátios,Lesbos,Chios,Icaria.

Cap sur Limnos.


 


 

Une fois passé le cap du mont Athos mettant un terme à ma contemplation. J'ai retrouvé le vent qui m'envoyait d'où j'étais venu ou plutôt d'où j'étais parti quinze jours plus tôt.

Il fallait que je prenne le large pour remonter vers l'Est. Dès que je me suis écarté les rafales se sont calmées puis malheureusement ca a été autour du vent qui a eu la bonne idée de changer de direction progressivement m'offrant le choix de me trainer vers Limnos où un peu plus rapidement vers Samotrace plus au Nord mais qui n'est pas prévu dans mon programme. Je me prépare pour une nuit en mer vers Limnos. Deux lignes à l'eau avec toujours le même espoir qu'un poisson suicidaire choisisse mes appâts même une morue ferai l'affaire .Depuis que je suis dans les eaux Grecque rien aucune prise sinon que quelques bouts de plastique.

La nuit tombe le vent est régulier ,le bateau bien équilibré je libère le pilote est attache la barre le bateau suis sont cap .Je vais dormir avec le téléphone en alarme horaire .De toute façon le sommeil est léger quand le bateau accélère s'est qu'il abat puis il revient tout seul sur ca route. De la nuit je n'ai pas de correction à faire et au petit matin j'entre dans Mirini une place devant un voilier Français me tend ses anneaux. Au réveil le voilier est parti je me retrouve seul dans ce port. Déclaration aux autorités de ma présence les demoiselles de permanence me confisquent le transit log il faut que je revienne les voir quand je partirai.

Je passe quelques jours dans cette ville assez importante ,petite balade .Il fait très chaud je me met au rythme grec ,sieste de midi à 18 heure après la vie reprend .Je fais l'entretien du bateau .Le réassortiment de mes médicaments à l'IKA toujours le même folklore dans un bureau minuscule deux médecins femmes, une secrétaire ,un seul bureau, la porte ouverte pour la ventilation et la confidentialité .J'attends dehors mais les nouveaux arrivants me passent devant ,alors je fais comme eux je vais remplir le bureau, une Doctoresse s'adresse à moi dans la langue d'Homére ,je lui réponds dans celle de Moliére ,elle a fait un an de médecine en France sa créer des liens je passe en priorité j'ai le droit à trois boites de chaque. On papote un peu pendant que la secrétaire fait les papiers, il y a huit personnes dans la pièce.

Mirini est connu pour son rassemblement de la flotte pour l'invasion des Dardanelles les vestiges sont de nombreux panneaux d'interdiction de filmer, en dehors de la ville il n'y a même pas un arbre, un fort Byzantin la domine .J'en fait l'escalade beau point de vue  sur la cote qui est très découpée et sur l'intérieur de l'ile qui n'invite pas à la balade, un désert.

Le soir, un chalutier vient vendre son poisson, les crevettes sautent encore dans les caisses et les turbots manquent d'air.

Je me fais une petite cure de poissons pendant mon séjour.

Après le chalutier local, se sont les chalutiers de Porto Koufos qui arrivent avec le même ballet mais là ils passent la nuit et repartent au petit matin.

Au bout de quatre jours j'ai fait le tour j'ai pu refaire l'approvisionnement du bateau.

Je vais récupérer mon transit log et me fais délester de Dix Euros de taxes pour le séjour. Pas trop cher d'autant que j'avais l'eau quand le chalutier était à la pêche et le courant dans la prise d'une rallonge qui trainait sur le quai, montée à l'envers, mais qui branchée dans une prise du bateau alimenté celui-ci d'une manière
pas très conforme ISO2009.

La météo ne s'est pas trompée dans la direction du vent mais question force les quinze nœuds se sont transformé en du Deux .j'entame une partie de pêche y pas de raison il y a des pécheurs partout.

Avec bien du mal en fin de journée j'arrive à Efstratos une ile un peu à l'écart de tout .Les lignes sont repliées bredouille comme d'habitude. Je m'installe sur la jetée finement protégée d'un collier de pneus de tracteur enfilés dans des rails de chemins de fer. Je trouve un trou dans les décors pour y mettre le bateau. Dés que je suis installé le garde cote de service me demande d'avancer au bout de la jetée il y a un gros bateau de prévu .J'obéis.

Je fais un tour dans le village, pas très vivant, vingt maisons, une taverne un commerce de tout qui me vend du pain rassis je ne lui en tiens pas rigueur difficile de prévoir l'avitaillement de l'ile.

Après la ville rien une antenne au loin sur la colline .De l'herbe déjà jaune.

Pour les papiers il faut que je revienne les amener quand je partirai.

Retour au bateau, isolé au bout de la jetée .Je commence à douter de la venue d'un gros bateau .Au final se pointe le ferry de Rimini qui s'installe pour la nuit. Puis arrive l'escadre des chalutiers c'est le grand rendez vous ils se mettent sur trois rangs. Je commence à sentir que je gène il y en a douze.

Le lendemain direction le garde côte pour les coups de tampons je lui laisse mes papiers pour pouvoir faire une petite balade dans le désert en direction de l'antenne en suivant la ligne de crête. Bon petit tour qui me fait découvrir la vie un peu caché des bergeries avec les troupeaux de chèvres et quelques moutons. Retour sur le village et découverte des ruines de l'ancienne ville qui a été détruite ou abandonnée quelques photos sympas des vestiges et récupération de mes papiers chez le garde cote.

Il n'est plus de service je tombe sur sa collègue très gentille, les papiers sont prêts. Elle me fait assoir et on se met à discuter sa la change de la télé. Difficile enfin on se comprend elle est du Péloponnèse ici pour six mois enfin pour une semaine sur deux parce que si on lui donne le choix elle préférerait se flinguée que d'être mutée ici en permanence. Ayant épuisé mon vocabulaire salutations distinguées mademoiselle je retourne sur le bateau. Le ballet des chalutiers recommence. Ils se mettent à couple au bout de la jetée se qui me rassure car la météo prévoit du vent de Sud pour la nuit ils vont me protéger.

Au petit matin départ, moins matinal que les travailleurs de la mer, le vent est là et la houle aussi. J'ai le choix passer par le Nord avec vent arrière pour sortir ou au pré vers le Sud et un virement une fois l'ile passée.

Le vent arrière est plus confortable, mais il ne me quitte pas au fur et à mesure que je contourne l'ile il tourne avec moi. Le cap pour Lesbos n'est pas très bon et l'allure chute en même temps que le vent.

Je suis sur une route assez fréquenté d'abord toute une escadre de bateaux de guerre deux par deux devant derrière de tout les cotés j'entends le bruit des moteurs avant de voir les bateaux. Puis après les cargos. Ce n'est pas une autoroute mais il y a du monde.

La journée passe lentement comme ma vitesse je vois mon point de chute, je me dirige vers Sigri baie presque fermée avec deux feux pour atterrir. La nuit est là les cargos aussi plus des chalutiers qui vont et viennent et moi qui scrute l'horizon pour trouver mon feu sur Megalonisi, je vois de tout sauf le feu je me guide au GPS, je trouve les deuxièmes feux qui marque les récifs je suis dans le bon secteur.je me guide avec lui. J'arrive au bout de l'ile toujours pas de feu 27 Mn de portée 40 m de haut que la forme noir en ombre chinoise de l'ile sur fond de ciel pas très clair. Enfin je commence à voir le port et son feu d'atterrissage tout rentre dans l'ordre. Je mouille dans la baie après le port dont la jetée est occupée par un navire militaire qui ronronne bruyamment. Le lendemain visite à terre pour cause de pain frais et de quelques vivres .Le village est petit sans grand intérêt .je fais le détour vers le fort qui domine la ville, un caravansérail turc avec à son pied un char le canon pointé vers l'ennemi .Rien ne me retient ici il y a un peu de vent je continu ma route en direction du prochain abri pour le soir, sortie par les hauts fonds du chenal Nord rien de bien difficile malgré les propos du guide.

Je me fais un bord au large pour parer la pointe qui est en face de moi le vent est plaisant 10 à 15 nœuds sans être obligé de faire du pré serré. Je vire pour retrouver ma route et paf la cata... L'étai me large avec le génois .Grande peur je mets en vitesse la drisse de spi pour remplacer l'étai qui se balade et commence à essayer de ramener l'étai l'enrouleur et le génois vers l'avant avec bien du mal et beaucoup de jurons j'arrive à attacher l'enrouleur dans l'axe du bout dehors l'étai fait un arc. Reste plus qu'à descendre le génois, le problème habituel se reproduit il reste bloqué au premier raccord de l'enrouleur. A la main je l'entortille autour de l'enrouleur une fois fini ces bidouillages plus qu'à faire route au moteur vers le premier abri.

Je mets le cap sur le petit port de Ghavadolos qui est proche, devant les fonds remontent rapidement me faisant douter des sondes qui sont dans le guide, avec prudence j'avance dans l'entrée étroite du port et je me retrouve avec deux mètres d'eau, demi tour le créneau est étroit l'eau est claire comme une piscine. Un pêcheur me fait signe pour me mettre à couple d'un petit chalutier juste au début de la digue le vent m'y pousse je me laisse dériver et accoste le bateau ; 2m, 4O d'eau ouf je suis le nez vers la sortie. Journée laborieuse réparation de secours à faire, la goupille qui retenait la rondelle de l'axe de fixation de l'étai à du sauter la plaque inox est tordue. Voilà le paysage.

Démontage, la plaque est redressée au marteau sur une bite d'amarrage, je récupère dans les fonds un axe et une goupille pour la rondelle je suis marron, j'ai une deuxième plaque qui va me servir de rondelle en attendant.

Préparer le remontage il me faut mollir tout les haubans tirant vers l'arrière faire un marquage. Ramener l'étai en tension là je n'ai pas de quai pour prendre appui je suis dans l'annexe, le système qui m'avez servi pour la même opération à Skopélos ne fonctionne pas.

Finalement avec des poulies et un bout passé au dessus de l'enrouleur j'arrive à mettre le tout en tension et dans l'axe, je fixe le tout avec les deux plaques un axe est passé plus qu'a lui trouver une rondelle par sécurité un boulon au dessus et un autre en dessous. Stop il va faire nuit.

Petit tour dans la ville l'église se laisse photographier, le reste et comme d'ab', sur la plage une Ozëry je m'y attable Ouzo plus petits plats relax du soir .Retour sur le bateau, nuit paisible bercé à l'Ouzo.

Réveil par le chant du pêcheur ou plutôt son autoradio reste plus qu'à finir le bouleau remettre le génois en place pas très compliqué si ce n'est qu'il est sorti de sa gorge sur un mètre se qui risque d'être un problème par la suite donc tant que tout n'est pas rentré dans l'ordre un tour dans le génois par sécurité.

Le départ est prévu pour le lendemain vers Mithymna ou Molyvos, le guide et le routard sont d'accord sur l'endroit qui vaut le détour .Peu de vent pour y aller sa me permet de tester la réparation .En route il y a également un village qui est venté par le routard Petra ou sévit l'église de » la vierge aux doux baisers » rien que pour le nom le détour s'impose. En fait un village typiquement pas Grec qui aurai sa place dans le pays Basque je suis surpris des couleurs que du rouge Basque et la vierge sur un rocher contemplant ses adorateurs. Supérette en bordure du rivage qui m'a permis de faire un plein de bouteille d'eau sans trop de peine.

Le port de Pétra fleure bon le béton tout neuf en dehors de la ville il est tristounet.

A cinq milles mon point de destination Mithymna ; Là encore je suis frappé par les couleurs et l'architecture le château en haut les montagnes derrières, un air Basque encore. Le port n'est pas très grand mais pour la première fois en Grèce un garde cote me fait signe où me mettre. Une fois en place reste plus qu'à arpenter les rues, il fait très chaud la ville tout en pente avec beaucoup d'escaliers, évidement le château est fermé en faire le tour est aussi bien d'après des voisins de ponton.

Descente en zig zag dans les ruelles je suis attiré par la cheminée d'une vieille usine en bordure de plage .Usine transformée en hôtel de luxe.

Le port est bordé de tavernes le décor est joli belle escale.

Coup de téléphone qui me fait plaisir, Andy se prend des vacances elle sera à Mytilène à la fin de la semaine, la vie devient rose. Plus qu'à m'organiser.

Mytilène se trouve au Sud Est, je suis au Nord de Lesbos rien ne presse sinon que de trouver une place confortable à Mytilène. Sur le quai je suis entouré d'Allemands et en parlant un m'explique où aller pour trouver une bonne place, il y aune marina EU non encore en service (une de plus)et free dans la baie de Mytilène et en plus ca sent pas les égouts comme dans le port. Radio ponton fonctionne dans toutes les langues. Le soir je m'installe sur le parapet du quai pour boire une bière les propriétaires d'un superbe ketch Américain viennent vers moi avec une bouteille de rouge, présentation drink discussion laborieuse mais quand même plaisante en regardant le soleil se coucher .Bon moment.

Le lendemain récupération des papiers acquittement de la redevance beaucoup de temps, de papiers, quatre fonctionnaires pour encaisser Neuf euros.

Départ pour la suite peu de vent de prévu donc une étape à faire avant Mytilène.

Une fois sur la cote Est le vent se fait discret le moteur un peu moins, les cartes maxsea pas très détaillées pour atterrir dans une baie ou crique je vise les ports marqués dans le guide. Le premier les sondes sont complètements fausses J'en ressors de justesse, dommage pour les spectateurs qui venait voir l'échouage « Matins Bleus » a bien réagi. Le second est assez proche de Mytilène je ne m'y risque pas je me fais un mouillage, l'eau est claire heureusement quand je suis devant pour lâcher l'ancre je vois un filet de pêcheur déployé sur le fond, un peu plus j'allais me mettre l'ancre ou la chaine dedans.

Je mouille derrière à peine la manœuvre finie que se pointe le propriétaire du filet « oui je l'ai vu ok «  « Kalispera » »Bonsoir » il repart content.

Nuit paisible sur fond de zone industrielle.

Mytilène est à Six milles un petit vent sympa me fait espérer une petite nav à la voile pour finir ma croisière en solitaire. Le départ est prometteur, le vent a vite fait de s'essouffler. Je fini au moteur, direction la marina EU .Effectivement pas encore sur les cartes une belle marina est là. Pour les places il y a le choix. Je me choisi un trou au hasard accostage sans difficulté.

Un peu en retrait de la ville, proche des supermarchés, sur la route de l'aéroport quoi demander de mieux. Pas d'eau ni d'électricité, les bornes sont là pas alimentées et déjà entrain de tomber en ruines. Les bâtiments sont vides prêt à accueillir les commerces. Enfin le soir ca se rempli de famille qui viennent faire faire du vélo aux enfants ou aérer les nourrissons, comme un parc loin des voitures.

Je rencontre Jean Yves qui vit sur son cata entre deux missions pour son boulot, un allemand qui me donne les combines pour l'eau et l'électricité, Pas très commode il faut aller au port en pleine ville il y a une borne sur le quai qui est généreuse elle s'est mis en panne en donnant tout. Pour le moment je suis plein je verrai avant de partir.

Andy arrive dans deux jours je fais une reconnaissance en ville qui est bruyante et mal odorante dans le pourtour du port. Une rue est typique avec de petits commerces de tout comme dans le temps (Papy radote).

Avitaillement du bateau par petit bout. Rondelle pour finir la réparation etc.….

Arrivée d'Andy installation à bord. Visite de la ville est des environs attente d'un créneau météo pour partir sans qu'elle ne stress.

Au bout de cinq jours les conditions sont idéales normalement. Dernière soirée dans le port près de la borne Free ; déclaration aux autorités de la présence d'un autre membre sur le bateau avec taxation au passage. Si on se tait personne ne vient te contrôler si tu te présente ils te taxent s'est pas énorme vu le temps qu'ils y mettent .Ca fait râler pour le principe.

Au petit matin direction Hios ,Chios ,Kios au choix s'est pareil. Le départ est conforme à la météo, mais après le cap Agrilios le vent qui devait tourner Ouest se met au Sud Ouest en plein sur la route à suivre avec une houle de travers bien formé. J'essaye de garder le bateau à plat pour pas épouvanter l'équipage Le cap est direct la cote Turc. Je tire un bord qui me fait gagner un peu avec l'espoir de pouvoir sur le second bord passer le cap Turc en face de moi et descendre sur les Iles Oinoussa qui peuvent faire une escale. Enfin en louvoyant le cap est franchi le vent devient meilleur le sourire revient.

A la nuit accostage dans le port de Mandraki sur Oinoussa.

Réveil dans un endroit charmant le port est fermé par une ile avec une église dessus typique Grec, la ville bleue et blanche carte postale.

Ballade dans la ville où malgré tout beaucoup de maisons sont abandonnées, D'après les explications du guide, les habitants ont fait fortune en tant qu'armateur à une époque ils ont fait construire de belle demeure mais que le plaisir et la vie facile est ailleurs ils sont partis laissant leur demeure et des statues à leurs honneurs (des pêteurs dans la soie).

Les ballades sont belles Kios est en face .Andy n'a pas pris gout au bateau ; il n'y a pas de ferry elle est obligée d'embarquer. Les huit milles sont vite fait d'autant qu'un orage nous y pousse. Amarrage à Kios

Joie d'être arrivée hantise de repartir l'ambiance n'est pas rose. Enfin visite de ce qu'il ya Un quartier excentré avec de belles demeures dans une oasis de verdure qui se termine sous la pluie, repli au musée archéologique qui est très intéressant.

Le lendemain remusées surprenant Musée Tyriade qui a été éditeur à Paris lithographie de Chagal Picasso etc. …. Et de le Corbusier que je ne connaissais pas peintre. Les oliviers du parc sont magnifiques tordus comme des sculptures abstraites.

La suite dans le sud de l'ile. Discussion avec Andy, séparation trop de stress de part et d'autre pour pouvoir apprécier le voyage .Douleurs, larmes. On est fait pour vivre l'un proche de l'autre mais pas ensemble. Ses racines sont à Skopèlos .J'ai passé un hiver formidable auprès d'elle. Il vaut mieux se séparer avec amour qu'avec haine il est encore temps. Je fais une bêtise.

Debout à l'aube l'avion part à 7 heure je me retrouve seul.

Location d'une voiture pour visiter le Sud de l'ile, les villages fortifiés producteurs du mastic qui est une gomme d'un arbuste le Lentilius pata ti patata qui sert depuis l'antiquité et que l'on retrouve dans les produits de beauté entre autres. Les villages valent le détour par leur architecture refermée sur eux.

Le mastic, il est là s'est le seul endroit au monde où l'arbuste veut bien donner sa gomme ?

Plage de galets noirs, retour par le super marché pour profiter de la voiture.

Au port de nouveaux voisins un bateau Français d'un coté et un yacht qui me cache le soleil. Bonjour au bateau Français apéro discussion habituelle bateau bateau.

Le vent est prévu pour après demain j'attends.

Il est là j'y vais, bon départ rien à dire la météo à dit vrai vent grand largue qui tourne par le Nord progressivement un vrai bonheur J'arrive sur Icaria comme une flèche ; Il y a bien longtemps que je n'avait fait une si bonne nav. Je réduis dans les approches de l'ile au loin la mer blanchie par endroit.

Avec la moitié du génois plus la trinquette et deux ris dans la grand voile je me fais dans les rafales du Huit nœuds sur une mer plate.

J'arrive sur le port de Kirikos dedans plein de bateau de pêche deux voiliers mais pas de place.

Je mouille à l'extérieur et me fait jeter par le garde cote il attend un tanker de se que je comprends. Je vais un peu plus loin dans une crique mais mon ancre n'accroche pas et je dérape je suis obligé de me faire un mouillage dans dix mètres d'eau un peu plus au large avec un maximum de chaine pour que ca tienne.

 

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