Une goelette

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grece, mer égée, Greece
A la retraite ,parti conquérir le monde ,me trouvant bien partout ,je ne crois pas en faire le tour.

dimanche 26 mai 2013

Saraylar le marbre blanc de Marmara.


Saraylar le marbre blanc de Marmara.

Depuis des temps lointain le marbre est exploité au Nord de l’ile.

Il y a possibilité d’y aller en bateau, mais puisse que je suis bien calé autant faire une découverte par l’intérieur, le dolmus  est à 20 m du bateau.

Départ huit heure, après le ramassage scolaire  qui voit affluer les écoliers d’une bonne partie de la région.

 
 
Ce n’est pas de la 4 voies. Les nids de poules ont été désertés devenu trop grand pour les volailles.

Une route avec des hauts et des bas au travers d’une végétation bien verte.

Puis changement de décors plus d’arbre des cailloux carrés « le marbre «  une taupinière gigantesque avec au milieu une ville et un port.

Fin du trajet le chauffeur m’offre la course, retour 14h. Le musée tout droit.

Me voilà lâché sur la route.

Le musée entrée gratuite, de toute façon il n’y a pas d’entrée un terrain un peu défriché  et éparpillé dedans les œuvres ratés des sculpteurs de l’antiquité,
 
 
 
 
 
 il faut dire que les tombeaux,
 
 
 
 
 
 
 
les portiques tout se qui se faisait était taillé sur place. Une fissure dans la pierre, un coup de marteau de trop, pan l’œuvre se cassait, poubelle.
 
 
 
 
 
Donc le musée c’est la poubelle.

 
 
 
 
 
 
Voyons maintenant la vie d’aujourd’hui, les camions chargent des blocs qui sont transportés par cargos.

 
 
 
 
 
Il y a des exploitations partout. Le vent est du bon coté épargnant la ville.

Je monte vers des antennes pour avoir une vue d’ensemble.

Zone technique.

Non une zone commerciale basées sur la mécanique,
 
 
 
 
 
il y a de tout et ce qu’il n’y a pas se fabrique sur place. Je suis comme un gosse dans un magasin de jouet.
 
 
 
 
 
 
Le thé m’est offert dans un magasin de courroies et de flexibles hydrauliques. La conversation par l’intermédiaire de l’ordi.

 
 
 
 
 










Retour en ville, ici aussi ils font dans l’auto bloquant, l’empierrement du port en marbre, des sculptures modernes le long de la future promenade.

Petite pose à l’ombre et resto.

 
 
 Retour au bateau un peu tardif, j’arrive à négocier mon départ sans supplément.

J’irai planter mon ancre à deux milles de là dans un cadre très agréable.










Le bateau faisant encore l’admiration d’une bande d’ados.

J’aurai le droit à deux prunes vertes, cadeau faux cul je les mange hum c’est bon !

Un quart d’heure plus tard ils reviennent avec un sac rempli des fameux délices.

Je refuse, par gestes je leur fais comprendre les effets que les fruits verts ont sur moi.

La boulangerie est difficile à trouver, le yaourt aussi bon.

Demain il faut que je me mette à l’abri un coup de Sud est prévu.

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